Expertise France recrute pour ces 02 postes (21 Juin 2022)

Informations sur l'emploi

Titre du Poste : 02 postes

Lieu du Travail : Côte d'Ivoire/Burkina-Faso

Description de l'emploi

Expertise France est l’agence publique de conception et de mise en œuvre de projets internationaux de coopération technique. L’agence intervient autour de quatre axes prioritaires :

  • gouvernance démocratique, économique et financière ;
  • paix, stabilité et sécurité ;
  • climat, agriculture et développement durable ;
  • santé et développement humain.

Dans ces domaines, Expertise France assure des missions d’ingénierie et de mise en œuvre de projets de renforcement des capacités, mobilise de l’expertise technique et joue un rôle d’ensemblier de projets faisant intervenir de l’expertise publique et des savoir-faire privés.

POSTE 1

Assistant(e) Logistique (H/F)

Description de la mission

Les principales missions confiées à l’Assistant(e )Logistique sont les suivantes :

Gestion logistique :

• Assure ou appuie l’organisation logistique d’événements (comités de pilotages, séminaires, réunions, activités de communication, accueil lors de certaines activités…)
• Assure le lien entre la CAM et les équipes projet et prépare les fournitures et le matériel nécessaire au bon déroulement des activités
• Appuie la vérification de la disponibilité et fonctionnalité du matériel de projection ou audio en lien avec le chargé des moyens généraux
• Assure l’organisation des pauses café et déjeuner en lien avec la chargée logistique et événementiel.
• Assure la gestion des feuilles d’émargement
• Assure en lien avec l’équipe projet et le chargé de communication, la confection des attestations de participation/formation

Missions/voyages :

• Appuie la chargée logistique et évènementiel dans l’organisation des missions, événements et voyages des équipes projet, des experts et du personnel de la CAM .
• Contribue à programmer, organiser, optimiser les coûts et assurer le bon déroulement des missions en lien avec les interlocuteurs concernés du siège et l’équipe logistique : déplacements, hébergement, per diem, remplissage de la documentation sûreté, documentation projets…

Gestion administrative :

• Gère les aspects administratifs du pôle logistique .
• Aide à la recherche documentaire, gère des tâches de secrétariat classiques (CR de réunions, rédaction de courriers…) du pôle logistique

Gestion financière :

• Appuie la préparation et la conduite des audits, en lien avec le responsable logistique

Communication :

• Appuie les activités de communication en lien avec le chargé de communication de la CAM, et la chargée logistique et événementiel
• Mis à jour et suivi de la base de photos et de vidéos en lien avec le chargé de communication de la CAM

Archivage :

• Met en œuvre la procédure d’archivage du pôle logistique

Description du projet ou contexte

L’Assistant(e) du pôle logistique est basé(e) à Abidjan et placé(e) sous la responsabilité hiérarchique du Responsable Logistique et Évènementiel.

Il/elle assure un appui administratif, logistique, en communication, et assure l’archivage des documents du pôle logistique.

Il/elle appuie le Responsable Logistique dans l’organisation et la mise en place des activités, de la gestion administrative et logistique du bureau et des missions en lien avec la CAM (Cellule d’Appui Mutualisé), apporte son concours pour les activités de communication en lien avec le chargé de communication de la CAM et la coordination régionale du projet.

 

Profil souhaité

• Diplôme supérieur (bac+2 minimum) en logistique, assistanat de direction, gestion administrative, sciences de gestion
• Expérience réussie d’au moins 2 ans sur un poste similaire ;
• Multidisciplinarité un atout (parmi, communication, secrétariat, logistique, administration,…)
• Maîtrise des fondamentaux de la gestion de projet et du cycle de projet un atout ;
• Excellente maîtrise des outils bureautiques, notamment Excel et Word exigée;

Aptitudes
• Sens de l’organisation et rigueur ;
• Capacité d’analyse et de synthèse ;
• Autonomie et réactivité ;
• Capacité d’adaptation ;
• Capacité de communication et de travail en équipe ;
• Bonne maîtrise du français (écrit et oral)

Informations complémentaires

Agence publique, Expertise France est l’acteur interministériel de la coopération technique internationale, filiale du groupe Agence française de développement (groupe AFD). Deuxième agence par sa taille en Europe, elle conçoit et met en œuvre des projets qui renforcent durablement les politiques publiques dans les pays en développement et émergents. Gouvernance, sécurité, climat, santé, éducation… Elle intervient sur des domaines clés du développement et contribue aux côtés de ses partenaires à la concrétisation des objectifs de développement durable (ODD). Pour un monde en commun.

Date limite de candidature : 15/07/2022 23:59

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POSTE 2

Consultant

Description de la mission

Au terme des 18 mois consacrés à l’exécution des projets portés par 16 OSC et 5 dispositifs d’accompagnement non financier et dans l’optique de consolider les acquis de ce projet, la nécessité d’une évaluation finale s’impose. Elle interviendra dans un contexte marqué par de nombreux défis rencontrés par le projet pour sa mise en œuvre effective : dégradation de la situation sécuritaire et son corollaire de déplacés internes dans les chefs-lieux des provinces de la région centre nord (Kaya, Kongoussi, Boulsa) ; la survenue de la pandémie de la Covid 19 ; la dissolution du gouvernement en  janvier 2021 ; le renversement du pouvoir du Président KABORE et la dissolution des conseils municipaux et régionaux qui s’en est suivi en Février 2022.

L’objectif de cette évaluation finale est de fournir de manière indépendante à l’équipe projet, au bailleur et aux différentes parties prenantes des éléments d’appréciation de la performance du projet vis-à-vis des critères définis par le CAD/OCDE « pertinence, cohérence, efficacité, efficience, impact et durabilité ». Au-delà des enjeux de redevabilité vis-à-vis des principales parties prenantes, cette évaluation poursuit également un objectif d’apprentissage visant à mettre en lumière et analyser les bonnes pratiques et leçons apprises afin de proposer des recommandations qui pourront être utiles lors de la mise en place d’un futur projet sur cette thématique.

Plus spécifiquement, l’évaluation finale poursuivra les objectifs suivants :

  • Evaluer le degré de réalisation des activités et les résultats atteints tels que programmés dans le cadre logique du projet ;
  • Evaluer la pertinence, la cohérence, l’efficience, l’efficacité et la viabilité/durabilité du projet avec un accent spécifique sur, d’une part, les « modalités d’intervention » du projet à travers la mobilisation d’opérateurs de mise en œuvre et, d’autre part, la mobilisation des collectivités territoriales comme « pilotes » des projets mis en œuvre sur les territoires ;
  • Analyser les changements survenus au niveau des « groupes cibles » et déterminer la contribution du projet à ces changements du projet. Il s’agira notamment d’identifier les effets induits et les impacts résultant des diverses interventions du projet :
  • sur les bénéficiaires finaux (quels résultats et changements obtenus en termes d’acquisition de compétences « métiers » et entrepreneuriales, quelle(s) insertions professionnelles, quel impact de la mise en œuvre des activités socioculturelles sur la cohésion sociale) ;
  • sur les partenaires de mise en œuvre (changement en matière de gouvernance ou en termes de mise en œuvre des projets de développement, renforcement des capacités) ;
  • sur l’implication des collectivités territoriales (changement en matière d’implication dans le développement économique locale, sur la prise en comptes des questions formation emploi, dans le suivi et le portage des projets de formations, etc.)
  • Evaluer la pertinence, la cohérence, l’efficience et l’efficacité du dispositif de mise en œuvre (EF, PMO, CT, MSJE) et de gouvernance (CTS, sous-commission régionale, INC), du dispositif de gestion et du dispositif de suivi-évaluation.
  • Formuler des recommandations pour une suite de projet :
  • Quels sont les principaux enjeux (problèmes, groupes cibles, territoires, modalités de travail, partenaires…) sur lesquels EF devrait centrer son intervention future ?
  • Quelles leçons EF et les partenaires de mise en œuvre doit tirer pour la suite des interventions des difficultés rencontrées et des réussites obtenues dans la mise en œuvre du projet ?

Description du projet ou contexte

Depuis fin 2015, les populations des zones du grand nord du Burkina Faso sont confrontées à une insécurité grandissante causée principalement par des groupes armés se revendiquant du djihad islamique. Les groupes armés prolifèrent dans les milieux ruraux, se nourrissant (i) d’un sentiment d’exclusion sociale, politique et économique et d’un manque de perspectives partagé par une population très jeune, (ii) des conflits fonciers opposant éleveurs et agriculteurs, parfois via des milices interposées et (iii) du banditisme ordinaire et des trafics illégaux. Les attaques ne cessent d’augmenter, tant en nombre qu’en ampleur et en complexité, occasionnant des milliers de déplacés internes. A la date du 31 Mars 2022, le nombre de PDI s’élève à 1 850 293 individus et 2 076 659 de personnes étaient affectées par la fermeture de 185 centres de santé et 354 centres de santé fonctionnaient à minima[1].

Cette insécurité favorise un cercle vicieux de diminution de la fourniture de services publics pour les populations des certaines zones affectées par la crise. Spécifiquement dans la Région du Centre Nord, la situation sécuritaire s’est à nouveau dégradée entre Novembre 2021 et Avril 2022. Malgré les actions de sécurisation menées par les Forces de Défense et de Sécurité (FDS), l’on a enregistré une augmentation du nombre des attaques de groupes armés non identifiés (GANI) dans les communes de Barsalogho, Bourzanga, Bouroum, Pensa, Namissiguima, Dablo et Pissila. En effet dans ces communes, les groupes armés non identifiés (GANI) ont repris les attaques ciblées contre les populations. Ce qui a entrainé les déplacements des populations provenant de ces communes vers les chefs-lieux de province, occasionnant de ce fait, une augmentation des besoins humanitaires. Outre ces attaques, la région du Centre Nord est confrontée aux cas d’inondations au niveau de certains sites d’accueil des personnes déplacées Internes (PDI) et de certaines familles d’accueil pour des raisons liées à la précarité et au manque d’aménagement sur les sites et aussi la survenue de grosses pluies diluviennes.

Ce contexte a justifié la mise en œuvre des programmes Emploi d’Expertise France dans les régions frontalières et périphériques du Burkina Faso (Boucle du Mouhoun, du Nord, du sahel) et récemment aussi dans les régions fortement affectées par les déplacements internes des populations comme le Centre Nord. Sur ces territoires, Expertise France intervient sur les questions relatives au renforcement des capacités des collectivités locales, la formation professionnelle et certifiante, la création d’emploi et aussi le renforcement de la cohésion sociale à travers plusieurs projets mis en œuvre au profit des jeunes, des femmes, des populations hôtes et des déplacées internes. Parmi les projets mis en œuvre par l’agence, on peut citer :

 

  • Le Programme d’Appui à l’Emploi dans les zones frontalières et périphériques du Burkina Faso, mis en œuvre entre 2017 et 2020 dans le but de contribuer à la stabilité régionale et à une meilleure gestion des migrations, en s’attaquant aux causes profondes d’instabilité, de déplacements forcés de population et de migration irrégulière, à travers de meilleures opportunités économiques, l’égalité des chances, la sécurité et le développement dans les régions de la Boucle du Mouhoun, du Nord et du Sahel. Il a permis de former sur des filières porteuses du BTP et de l’agroalimentaire 3 884 personnes et 1 849 d’entre elles ont été certifiées en CQB ; 2 266 entreprises, 2 800 emplois et 33 coopératives ont  été créées ;
  • Le projet d’appui au développement d’opportunités économiques pour les jeunes et les femmes de la région du Sahel au Burkina Faso, mis en œuvre entre juin 2019 et Janvier 2022 dans le but de soutenir le développement économique local et de favoriser la création d’opportunité économique pour les jeunes et les femmes de la Région du Sahel. Il a permis de former sur des filières porteuses de l’artisanat et de l’agroalimentaire 151 personnes et 43 d’entre elles ont été certifiées CQB ; 53 entreprises et 124 emplois ont été créés.
  • Le projet « Sahel, Nord et Boucle du Mouhoun : territoires créateurs d’emplois » mis en œuvre entre octobre 2020 et septembre 2021. L’exécution des projets portés par les partenaires de mise en œuvre a permis de former 4847 personnes surtout dans les métiers de l’artisanat, de l’élevage, du commerce et de la transformation agroalimentaire. Parmi les formés, 1789 ont reçu leur premier titre professionnel (niveaux CQB ou CQP). A l’issu des formations aux métiers, les bénéficiaires ont reçu des appuis (mise en stage, formation en entrepreneuriat, organisation en coopérative…) en vue de faciliter leur insertion socioprofessionnelle. A ce sujet, 129 ont obtenu leur premier emploi salarié et 1230 ont démarré une activité économique. Le total des emplois créés est de 2890 ;
  • Le projet de renforcement de la cohésion sociale et de la stabilisation de la région du Centre Nord (RENCOSS) fait l’objet de la présente évaluation. Il est exécuté entre décembre 2020 et le 30 Octobre 2022 dans le but de contribuer à la stabilisation de la région du centre nord par la mise en œuvre d’activités socio culturelles et le développement des opportunités d’emplois.

Le projet à évaluer : le projet de renforcement de la cohésion sociale et de la stabilisation de la région du Centre Nord (RENCOSS)

L’évaluation finale concerne le projet de « Renforcement de la cohésion sociale et de la stabilisation par le développement des opportunités d’emplois dans les zones urbaines et péri urbaines de la région du Centre Nord », financé à hauteur de 8.000.000 £ par l’UE. Il a démarré en Décembre 2020 et s’achèvera en Juin 2022. Son objectif général est de contribuer à la stabilisation de la Région du Centre-Nord à travers la promotion de la cohésion sociale entre les populations hôtes et déplacées internes et surtout le renforcement de leur employabilité via la formation professionnelle. Par la facilitation de l’accès à la formation professionnelle selon une approche « chantier-formation », le projet cherche plus largement à améliorer les conditions de vie des populations par la construction et la réhabilitation des infrastructures d’utilité publique dans les secteurs de la jeunesse, de la santé, de l’éducation et du sport.

De manière spécifique, le projet RENCOSS se décline en deux objectifs spécifiques comme indiqué dans le cadre logique (voir annexe) ::

  • OS1: Faciliter l’accès à la formation professionnelle et à l’emploi des populations locales et déplacées de la Rég on du  Centre-Nord ;
  • OS2: Renforcer la cohésion sociale entre populations déplacées et populations locales de la Région du Centre-Nord par une animation socioculturelle active.

Sur la base d’un financement en cascade, 36 subventions ont été accordées dans le cadre de RENCOSS. Ce sont ainsi 16 OSC intervenant dans le Centre Nord ; 02 plateaux techniques de métier (centre nord et la commune de Djibo) ; 02 incubateurs d’entreprise (Nord et Boucle du Mouhoun), 01 pépinière d’entreprise (Sahel) qui ont mis en œuvre les projets. Le suivi de ces actions a été assuré par les responsables des 15 collectivités territoriales d’intervention.

Le projet à ce stade a permis de former 4.448 personnes sur 34 métiers liés à l’artisanat, l’agroalimentaire, l’agriculture et le BTP ;2.013 personnes sont certifiées en CQB. Pour les supports qui ont permis l’opérationnalisation des formations, 18 infrastructures BTP ont été réhabilitées et ou construites et 12 périmètres maraichers ont été aménagés. De plus, 26 SCOOPS sont déjà formalisées et au moins 25 000 personnes ont participé à des activités sur la cohésion sociale à travers la mise en œuvre de 16 plans d’animation socioculturelle.

Conformément à l’approche territoriale d’intervention d’Expertise France, des instances de gouvernance ont été instaurées dans la mise en œuvre du projet afin de faciliter et d’impliquer les élus locaux dans le suivi des projets. Au nombre de ces instances, il y a :

  • Les comités techniques de suivi : 03 CTS par chaque PMO ont été organisés ;
  • Les sous-commissions régionales emploi et formation : 4 sessions par régions ont été organisées à Kaya sous le lead du Conseil régional ;
  • L’instance nationale de concertation : 02 instances ont été organisées à Ouagadougou.

L’opérationnalisation du projet a été rendue possible grâce au partenariat qui lie Expertise France à son Ministère de tutelle qu’est le Ministère des sports, de la jeunesse et de l’emploi (MSJE). Grace à cette collaboration, 08 référentiels de formation ont été conçus avec le DGFP et une étude sur la caractérisation des PDI et de leur impact sur les ressources naturelle a été réalisée par la Direction Générale des Etudes Statistiques et Sectorielle (DGESS). Avec le Ministère du Commerce, de l’industrie et de l’artisanat, une convention entre Expertise France et la Maison de l’Entreprise a été nécessaire afin de faciliter la formalisation des micros entreprises et l’obtention du statut de l’apprenant au profit des bénéficiaires.

[1] Burkina Faso | Rapports de situation (unocha.org)

Profil souhaité

Cette consultation s’adresse aux bureaux d’étude/recherche et ou à un/une consultant(e) indépendant(e) expérimenté(e).

Les compétences requises pour réaliser cette évaluation sont les suivantes :

Essentiel :

  • expertise en évaluation basée sur les résultats ;
  • expérience démontrée en évaluation de programme / projet dans un contexte de développement international (appuyée par les attestations de bonne fin d’exécution) ;
  • aptitude à concevoir et planifier les méthodes d’évaluation et les méthodes de recherche, y compris les méthodes quantitatives et les méthodes de recherche qualitatives ;
  • capacité à gérer un processus d’évaluation et de recherche y compris de collecter et interpréter les données de base ;
  • expérience des méthodes d’animation de réflexions participatives ;
  • expérience sur les questions de genre et d’inégalité homme-femme ;
  • bonne maîtrise de la communication interpersonnelle ;
  • connaissances et expertises techniques et sectorielles dans les domaines de la formation professionnelle, de l’entreprenariat, de la gestion des entreprises, de la création d’emploi et des entreprises rurales;
  • excellente maitrise du français à l’oral comme à l’écrit.

Atout :

  • connaissance des principales langues parlées dans les zones de mise en œuvre des projets ( Mooré, fulfuldhé) ;
  • expérience dans la région concernée par la mise en œuvre du projet ;
  • expérience préalable avec Expertise France

Dans le cas où une équipe d’évaluateurs était proposée, la complémentarité des profils des experts, en particulier la présence d’évaluateurs nationaux, sera un élément déterminant du processus de sélection. L’équipe proposée devra présenter dans la mesure du possible un équilibre homme/femme.

Le bureau d’études ou le consultant(e) mobilisé pour la prestation ne doivent pas avoir de liens avec les parties prenantes qui soient susceptibles d’interférer dans le processus d’évaluation et de mettre en doute l’impartialité et l’objectivité de ses conclusions.

Informations complémentaires

Les Termes de références complets de la mission sont en pj.

Les offres doivent impérativement être envoyées aux 4 destinataires suivants : [email protected] [email protected], [email protected] et [email protected]