La Russie, l’actuel leader des BRICS, aurait mené des investigations et découvert une véritable manne de pétrole et de gaz dans l’Antarctique.
Selon le journal Geo.fr, la réserve de pétrole découverte par la Russie est estimée à plus 511 milliards de barils.
Hormis le pétrole, une importante réserve de gaz a aussi été découverte et cela inquiète déjà les Occidentaux, principaux contradicteurs de la Russie.
En effet, le Daily Telegraph informe que la Russie a effectué sa recherche sur l’Antarctique depuis 2020 en pleine crise pandémique du Coronavirus.
Selon la même source, les 511 milliards de réserves du pétrole découvertes constituent à titre de comparaison le double de la capacité pétrolière de l’Arabie Saoudite, un autre membre des BRICS.
Il s’agit là d’une énorme manne de pétrole et de gaz découverte dont la possible suite des événements inquiètent énormément les militants du climat.
Ces derniers craignent que cette découverte ne vienne carrément anéantir les efforts de transition écologique qui consiste à se tourner progressivement vers des énergies moins polluantes.
En effet, l’Antarctique est une zone reconnue comme un « bien commun de l’humanité » et donc l’accès n’est autorisé qu’aux chercheurs.
Cependant, la découverte des scientifiques rend les Occidentaux très méfiants vis-à-vis des idées d’exploitations que pourraient avoir Vladimir Poutine malgré l’interdiction.
Klaus Dodds, expert de l’Antarctique, estime que si la Russie a commencé par mener des recherches de cette envergure, l’idée d’exploitation pourrait se cacher derrière.
« Il existe une inquiétude que la Russie collecte des données sismiques qui pourraient être interprétées pour de la prospection plutôt que pour de la recherche », a déclaré l’expert et professeur géopolitique au Royal Holloway Collège.
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