Police de Côte d’Ivoire/Ce Congolais fait des révélations : « Un policier m’a arrêté sans raison et m’a… »

Police Côte d'Ivoire Congolais

Crédit Photo : Lavenir.ci

Sur la toile, un ressortissant congolais a partagé cette expérience qu’il a eue avec un agent de la police de Côte d’Ivoire. Des confidences qui ont ému la toile.

Le Congolais a révélé qu’il était en pleine circulation lorsque l’agent de la police de Côte d’Ivoire l’a interpellé. Au début de la conversation, il a été frustré. Mais par la suite, le policier lui fera une révélation qui le surprendra énormément.

Le Congolais s’est exprimé en ces termes : « Hier à Abidjan, un policier m’a arrêté sans raison d’ailleurs. Car je crois que j’avais fait aucune fautes sur la route.

Contrôle de routine, il m’a dit parce qu’il a vite réalisé que je rouspétais.

Il a demandé le permis, assurance et les autres papiers de la voiture. Je lui ai dit que j’avais tout et que j’étais en retard.

Il a souri et ça m’a même énervé, et il me dira ensuite : « Monsieur, calmez-vous. Pourquoi vous vous agitez ? »

Ensuite, il me dit : « Je voulais vérifier quelque chose. Car en te voyant venir, je ne te trouvais pas du tout préoccupé ».

Je lui dis : « Toit ça, vous voyez ça de loin ? »

Il a souri et il m’a dit : « M’avez-vous déjà vu ? », j’ai dit : « Non ».

C’est là que ça devient intéressant puisqu’il me dit qu’il est content en regardant mes papiers. Et là, je me suis dit qu’il y a un souci avec mon assurance, surtout que je n’ai pas vérifié si la visite technique est toujours ok.

Il me dira ceci : « Je vous ai arrêté une fois en 2020, vous n’aviez pas d’assurance, pas de visite, et vous aviez une voiture qui fumait. Et pire, vous n’aviez même pas de quoi payer la contravention.

Alors, vous aviez vidé vos poches et je vous ai laissé partir en priant pour que votre situation change, car vous m’aviez dit que c’étaient des moments difficiles.

Et donc, aujourd’hui, quand je vous ai reconnu, je voulais avant tout voir si la situation est meilleure. Passez donc une bonne journée, monsieur… »

Je ne savais même plus quoi faire« .