Les innovations ne semblent plus être exclusivement l’apanage des États européens, comme le démontre le dernier rapport Africa Horizons de Knight Frank. En effet, d’après ce rapport, l’Afrique n’a rien à envier à l’Occident, et la capitale Nairobi en est un exemple probant.
Concrètement, la capitale du Kenya est devenue un véritable centre névralgique pour les entrepreneurs. De plus, elle n’est pas la seule à jouer ce rôle crucial sur le plan économique. Plusieurs autres capitales africaines se démarquent dans ce domaine, à l’image du Cap et de Kampala.
Ainsi, bien que Nairobi soit considérée comme la locomotive, ces deux villes n’ont guère à envier à la première. Le Cap se classe en deuxième position, en raison de son statut de capitale législative de l’Afrique du Sud et de son rôle en tant que pôle de recherche abritant des universités prestigieuses. Kampala complète le podium en misant sur la diversité de son tissu économique et démographique.
Ces trois métropoles incarnent la montée en puissance de l’innovation africaine, qui est un moteur essentiel du développement économique et sociétal, selon Knight Frank. Leurs écosystèmes stimulent la croissance des start-ups locales et attirent également des initiatives étrangères.
Grâce à leurs politiques actives, Nairobi, Le Cap et Kampala s’affirment comme les leaders de l’innovation et du progrès technologique sur le continent africain.
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