L’UNICEF recrute pour ce poste (04 Janvier 2023)

L’UNICEF travaille dans certains des endroits les plus difficiles du monde, pour atteindre les enfants les plus défavorisés du monde. Pour sauver leur vie. Pour défendre leurs droits. Pour les aider à réaliser leur potentiel.

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Et nous n’abandonnons jamais.

Pour chaque enfant,  Hope

Le spécialiste SBC, sous la direction technique du chef SBC à Abuja, se concentrera sur la fourniture d’un soutien visant à s’aligner sur les principes mondiaux de changement social et comportemental (SBC) de l’UNICEF sur la vaccination contre le COVID-19 en utilisant une approche intégrée.

Le spécialiste fournira un soutien technique et opérationnel dans le développement d’une stratégie et d’un processus systématiques, planifiés et fondés sur des preuves pour le CSC en tant que partie intégrante du développement, de la planification et de la mise en œuvre du programme afin de promouvoir un changement / une mobilisation comportementale et sociale mesurable par la communication, l’engagement, l’autonomisation et la participation des parties prenantes, des mandants partenaires, des communautés et de la société civile pour obtenir des résultats concrets (programme/projet) réussis et durables sur les droits, la survie et le bien-être des enfants dans le pays.

Les vaccins COVID-19 ont changé la donne dans la lutte contre la pandémie de COVID-19. Le gouvernement du Nigéria cible 51,5 % de la population totale du Nigéria (environ 111,7 millions de personnes) sur une période de deux ans pour renforcer l’immunité de la population. Depuis le déploiement des vaccins COVID-19 au Nigeria, des progrès louables ont été réalisés pour faire vacciner de nombreuses personnes. Au 13 novembre 2022, un total de 93,5 millions de doses ont été administrées à 65,5 millions de Nigérians éligibles depuis mars 2021. Cela équivaut à 53,7 % de Nigérians qui ont reçu au moins une dose du vaccin ^. En octobre 2022, un total de 46,9 millions de Nigérians étaient entièrement vaccinés (42 % de la population éligible).

Le Nigéria est confronté à trois principaux obstacles à la vaccination contre le COVID-19 :

1. Barrières structurelles . Selon un sondage en ligne mené par le Johns Hopkins Center for Communication Programs, 23 % des Nigérians qui ont essayé de se faire vacciner ne sont toujours pas vaccinés, en raison de plusieurs obstacles structurels, qui sont différents aspects de la vaccination qui peuvent limiter l’accès à la vaccination. Les cinq principales raisons sont les suivantes : Difficulté à quitter le travail ou l’école (25 %) ; difficulté à se rendre à la vaccination (22 pour cent); les heures de rendez-vous ne fonctionnaient pas (21 %) ; accès limité à Internet ou au téléphone (12 pour cent); pas de rendez-vous de vaccination (11 %).

1. Faible perception du risque . Selon le sondage téléphonique NOI de juillet 2022, 51 % des personnes interrogées en juin 2022 s’inquiétaient de la propagation de la COVID-19. Il s’agit d’une réduction par rapport aux 67 % rapportés en décembre 2021. Les chiffres au niveau régional sont bien inférieurs, par exemple seulement 34 % dans le Sud-Est et 37 % dans le Sud-Ouest s’inquiétaient de la propagation du COVID-19. Actuellement, le niveau de perception du risque a encore été réduit car le gouvernement du Nigéria a assoupli la plupart des mesures préventives contre le COVID-19.

1. Hésitation vaccinale . Selon le sondage NOI de septembre 2022, 29 % des personnes au total ne veulent pas se faire vacciner ou voudraient attendre ou ne sont pas sûres et penchent pour ne pas se faire vacciner. Les sondages NOI ont également révélé que le plus grand obstacle psychologique à la vaccination est la crainte que le COVID-19 ne soit pas réel et n’y croit pas (19%), le manque d’intérêt et le refus de se faire vacciner représentent 18%. Pas pratique, pas pratique du tout et ne sachant pas où se faire vacciner représentaient 20 % des répondants. Beaucoup de personnes déjà vaccinées (54 %) choisissent d’attendre plutôt que de recevoir la dose de rappel. L’hésitation est due à deux facteurs :
   • Manque d’accès aux informations sur les vaccins COVID-19. Le même sondage révèle également que seulement 15% pour cent ont été exposés à un message sur les vaccins COVID-19 au cours du mois précédent et cela est fortement associé au niveau d’éducation. Les personnes ayant un niveau d’éducation supérieur ont généralement plus accès aux informations sur le COVID-19. Mais même parmi ceux qui ont été exposés aux informations sur le COVID-19, les informations qu’ils ont reçues ne reflètent pas leurs besoins d’information. Seulement un pour cent se souvient d’informations sur la sécurité, alors que, comme mentionné ci-dessus, l’aspect sécurité est leur principale préoccupation. La plupart des informations dont ils se souviennent concernent la nécessité de se faire vacciner (52 %), tandis que ceux qui ne se souvenaient pas du tout représentaient 11 %.
2. • Rumeur et désinformation . L’étude de pays du CDC Afrique 15 révèle que deux répondants nigérians sur trois pensent avoir vu ou entendu au moins certaines informations sur le coronavirus qui semblent inventées ou fausses. Les hommes sont plus susceptibles de déclarer avoir été exposés à la désinformation (71 % contre 64 % des femmes), et les jeunes répondants ont également tendance à signaler une plus grande exposition à la désinformation que les plus âgés. Cela peut être lié au fait que les jeunes sont plus susceptibles d’utiliser les médias sociaux. Ceux qui croient aux théories du complot sont plus susceptibles de signaler une exposition à la désinformation, et ceux qui déclarent avoir vu de la désinformation ont tendance à être ceux qui croient aux rumeurs individuelles sur COVID 19.

C’est dans ce contexte qu’un spécialiste du CSC est tenu de travailler avec les équipes nationales et étatiques au Nigeria pour fournir une orientation stratégique et un soutien technique sur les interventions de CSC sur la vaccination contre le COVID-19 et d’autres programmes de vaccination de routine conformément à l’orientation de l’approche SCALES 3.0 .

Actuellement, la section SBC de l’UNICEF au Nigéria a fourni à l’Agence nationale de développement des soins de santé primaires (NPHCDA) et au Centre nigérian de contrôle des maladies (NCDC) un soutien technique pour le développement de contenu, la communication de crise et l’engagement numérique. Cependant, il existe encore des lacunes en termes de fourniture d’orientation stratégique sur le CSC à la NPHCDA et au NERRIC.

II. Contexte organisationnel et objectif du poste

Objectif du poste: Sous la direction générale du chef du SBC, le titulaire est responsable de la coordination du groupe de travail sur la communication pour accélérer les approches et les stratégies de génération de la demande au NERICC, l’Agence nationale de développement des soins de santé primaires (NPHCDA) afin de promouvoir la sensibilisation, la compréhension, des plans de soutien et de mobilisation sociale qui soutiennent le plaidoyer et l’engagement communautaire ainsi que l’autonomisation communautaire et le changement de comportement en tant que composantes clés des programmes de pays au Nigéria, conformément au plan de travail continu avec le ministère fédéral de la Santé et la NPHCDA.

III. Fonctions clés,

Résumé des principales fonctions/responsabilités :

Le titulaire devra fournir un soutien technique aux activités de la NPHCDA liées à la mobilisation sociale, à la génération de la demande et aux fonctions connexes.

1. Direction stratégique et coordination
   Soutenir le NERICC pour déterminer les orientations stratégiques de la communication pour le développement (groupes de travail techniques de plaidoyer, de mobilisation sociale, d’engagement communautaire et de changement de comportement) et s’assurer que les stratégies sont conformes au document de programme de pays du Nigeria (CPD) ainsi qu’au Rolling Plan de travail (RWP) pour atteindre des objectifs intégrés de couverture de la COVID-19 et de la vaccination de routine.
2. Génération de la demande
   Veiller à ce que les groupes de communication du NERICC et de la NPHCDA soient soutenus pour élaborer des plans et des activités visant à augmenter la demande de services COVID-19 et RI
3. • Soutenir le développement/la mise en œuvre de la stratégie SBC avec des approches, des plans et des activités visant à augmenter la demande de services de vaccination et d’IR contre la COVID-19.
   • La stratégie doit être fondée sur des preuves solides basées sur des études avec des objectifs clairs, des approches, des plans, des activités, ainsi que des mécanismes de suivi et d’évaluation.
   • Veiller à ce que les approches utilisées soient inclusives, consultatives et participatives pour accompagner toutes les parties prenantes.
   • Soutenir les activités de vaccination contre la COVID-19 pour améliorer la demande par le biais d’initiatives de plaidoyer, de mobilisation sociale et d’engagement communautaire.

3. Promotion de l’utilisation appropriée des principes et des approches du CSC
   • Fournir des conseils sur l’utilisation appropriée des approches CSC, visant à la fois le changement de comportement individuel et l’action collective, ainsi que des conseils politiques.
   • Fournir des conseils d’experts, une coordination et un soutien technique aux homologues gouvernementaux et aux autres partenaires dans le développement et l’utilisation stratégique de la communication pour le développement social afin d’assurer un effet de levier et un impact optimaux des activités de communication sur les activités de programme, de politique et de plaidoyer.
4. • Collaborer avec les responsables du gouvernement fédéral, la NPHCDA, les dirigeants communautaires, d’autres organismes des Nations Unies, les agences bilatérales et les ONG dans l’organisation d’activités, la recherche opérationnelle, le plaidoyer et l’échange d’informations et d’idées à l’appui des objectifs et stratégies de communication du NERICC et de la NPHCDA.
   • Conjointement avec d’autres fonctionnaires de l’UNICEF et du gouvernement, conçoit et gère/facilite la mise en œuvre de plans d’action de communication visant à : (a) le développement/le changement de comportement au niveau des individus/des ménages ; (b) la mobilisation sociale des organisations de la société civile ; (c) une participation communautaire accrue à la vaccination contre la COVID-19 et à l’IR ; et (d) les questions politiques qui nécessitent un plaidoyer pour avoir un impact sur la vaccination contre la COVID-19 et l’adoption de l’IR.
5. • Surveille et évalue les activités sur la base de la recherche appliquée en communication ciblée et de visites fréquentes sur les sites du projet. Diffuse les résultats de la recherche en communication, assure les échanges d’expériences et de nouvelles méthodes auprès des responsables gouvernementaux, du personnel du programme et des autres partenaires de l’UNICEF.
   • Collaborer avec, conseiller et/ou consulter des partenaires internes, pour concevoir des stratégies de CSC culturellement pertinentes, y compris la formulation, la production et le pré-test de matériel et/ou organiser des événements et des activités de CSC pour assurer l’engagement et la participation des publics clés, et une portée et une diffusion maximales. impact sur le changement comportemental et social.
   • Confirmer/vérifier la qualité technique, la cohérence et la pertinence des stratégies de communication, y compris les documents qui sont élaborés, produits et diffusés auprès du public cible et recommander plusieurs formats médiatiques appropriés. Superviser la production et la mise en œuvre d’initiatives multimédias pour le respect des objectifs et des plans qui intègrent les dernières preuves.
6. • Mener des activités de plaidoyer SBC avec / pour un large éventail de constituants, de parties prenantes, de partenaires, de communautés, tels que des groupes religieux, des chefs traditionnels, des enseignants, des artistes et d’autres groupes organisés au niveau national, étatique, zonal, des zones de gouvernement local (LGA) et de la communauté niveaux, ainsi que les organisations de la société civile, etc. pour les orienter sur les modèles de comportement et de mobilisation sociale, les stratégies, les approches, la vaccination COVID-19 et la vaccination de routine ; et solliciter leur implication dans la mise en œuvre de l’initiative globale ; également pour encourager/promouvoir l’engagement et le dialogue, l’inclusion, l’autodétermination et la participation dans la mobilisation des changements sociaux, politiques, comportementaux et culturels afin d’obtenir des résultats de programme durables pour le COVID-19, l’amélioration de la vaccination systématique et les droits, l’équité et le bien-être des enfants et des femmes. être.
7. • Identifier, établir et maintenir une interaction/relations actives avec les médias, les universités et d’autres partenaires stratégiques pour communiquer/défendre les compétences et les réalisations de l’UNICEF afin d’assurer leur engagement, leurs intérêts et leur soutien dans la promotion de l’engagement social/politique pour l’action politique sur COVID-19 et RI, et des changements mesurables dans les résultats sociaux et comportementaux.
8. • Mener et / ou participer à des exercices de S & E (suivi et évaluation) et d’évaluation, y compris des aperçus de programmes de pays, des réunions et des examens à mi-parcours / annuels pour évaluer / rendre compte de l’efficacité / des résultats du SBC sur l’UNICEF et le bureau de pays du Nigeria (NCO) Plans/objectifs stratégiques. Recommander une action opportune pour assurer l’atteinte des résultats comme prévu et alloué. Intégrer/disséminer les leçons apprises dans la planification et les améliorations du développement.
   • Surveiller et évaluer les activités du programme sur la base de recherches comportementales qualitatives appliquées et de visites fréquentes sur les sites du projet.
9. • Analyser et évaluer les données pour assurer la conformité et la réalisation des objectifs et recommander des mesures correctives, si nécessaire, pour atteindre les objectifs du programme/projet. Préparer les rapports de suivi et d’évaluation conformément aux directives, méthodes et procédures établies. Fournir des conseils techniques au personnel du programme, aux responsables gouvernementaux et aux autres homologues, et coordonner et gérer les éléments d’évaluation des réunions d’étape du programme de pays, telles que les examens à mi-parcours, les réunions stratégiques, les aperçus et les examens et les examens annuels.

4. Renforcement des capacités pour la durabilité
   • Fournir des conseils sur le renforcement des capacités des équipes SBC, tant au sein de la NPHCDA qu’entre homologues.
   • Superviser et conseiller sur l’élaboration d’objectifs, de stratégies, d’approches, de plans ainsi que de matériel et d’activités de formation pour renforcer les capacités de communication participative et de changement de comportement pour le personnel impliqué dans la planification, la mise en œuvre et l’évaluation de l’intervention CSC, à l’appui de COVID -19 vaccin et RI.
5. Mobilisation et gestion des ressources
   • Participer au processus de planification et d’examen du budget et assurer les ressources optimales de l’UNICEF et d’autres partenaires pour les initiatives SBC.
   • Établir les plans de travail du programme, l’allocation des ressources et surveiller les progrès et la conformité.
   • Prendre les mesures appropriées pour optimiser l’utilisation des fonds du programme et mobiliser les ressources ; améliorer l’efficacité, la qualité et l’exécution des programmes grâce à une approche rigoureuse et transparente de la planification, du suivi et de l’évaluation des programmes.
   • Superviser l’allocation globale et le décaissement des fonds du programme, en s’assurant que les fonds sont correctement et efficacement coordonnés, contrôlés et liquidés.

Éducation:

Diplôme universitaire supérieur en sciences sociales / comportementales (sociologie, anthropologie, psychologie et éducation à la santé) OU Baccalauréat avec plus de 8 ans d’expérience de travail avec un accent sur la planification de la communication stratégique pour le développement du comportement, la mobilisation sociale et la communication participative, et la recherche, formation/animation et évaluation d’impact des interventions de communication.

Formation en SBC et mise en œuvre en SBC, mobilisation sociale et changement de comportement. Formation à l’approche interdisciplinaire en communication de programme.

Expérience :
Minimum 5 ans (8 ans pour les candidats titulaires d’un baccalauréat) expérience professionnelle pertinente dans la planification et la gestion de programmes de développement social, dont 2 ans avec une expérience pratique dans l’adaptation et l’application des processus de planification de la communication à des programmes spécifiques.

Exigences linguistiques :

Maîtrise de l’anglais et d’une autre langue des Nations Unies. Langue de travail locale du lieu d’affectation un atout

Pour chaque enfant, vous démontrez…

Les valeurs de l’UNICEF en matière d’attention, de respect, d’intégrité, de confiance et de responsabilité (CRITA).

• Les compétences UNICEF requises pour ce poste sont…
  • Construire et maintenir des partenariats (II)
  • Démontre une conscience de soi et une conscience éthique (II)
  • Volonté d’obtenir des résultats (II)
  • Innove et accueille le changement (II)
  • Gère l’ambiguïté et la complexité (II)
  • Pense et agit stratégiquement (II)
  • Travaille en collaboration avec les autres(II)
  • Nourrit, dirige et gère les personnes (II)

Pour consulter notre référentiel de compétences, rendez-vous  ici .

L’UNICEF s’engage en faveur de la diversité et de l’inclusion au sein de son effectif et encourage tous les candidats, quels que soient leur sexe, leur nationalité, leurs origines religieuses et ethniques, y compris les personnes handicapées, à postuler pour faire partie de l’organisation.

Nous offrons une  large gamme d’avantages à notre personnel , y compris un congé parental payé, des pauses d’allaitement et des aménagements raisonnables pour les personnes handicapées. L’UNICEF encourage fortement l’utilisation d’arrangements de travail flexibles.

L’UNICEF applique une politique de tolérance zéro à l’égard des comportements incompatibles avec les buts et objectifs des Nations Unies et de l’UNICEF, notamment l’exploitation et les abus sexuels, le harcèlement sexuel, l’abus d’autorité et la discrimination. L’UNICEF adhère également à des principes stricts de protection de l’enfance. Tous les candidats sélectionnés devront adhérer à ces normes et principes et seront donc soumis à des vérifications rigoureuses des références et des antécédents. La vérification des antécédents comprendra la vérification des diplômes universitaires et des antécédents professionnels. Les candidats sélectionnés peuvent être tenus de fournir des informations supplémentaires pour effectuer une vérification des antécédents.

Remarques:

L’engagement actif de l’UNICEF en faveur de la diversité et de l’inclusion est essentiel pour obtenir les meilleurs résultats pour les enfants. Pour ce poste, les candidates éligibles et appropriées sont encouragées à postuler.

Seuls les candidats présélectionnés seront contactés et passeront à l’étape suivante du processus de sélection.

Les nominations à l’UNICEF sont soumises à une autorisation médicale. La délivrance d’un visa par le pays hôte du lieu d’affectation, qui sera facilitée par l’UNICEF, est requise pour les postes IP. Les rendez-vous peuvent également être soumis à des exigences d’inoculation (vaccination), y compris contre le SRAS-CoV-2 (Covid).

Les employés du gouvernement qui sont considérés pour un emploi avec l’UNICEF sont normalement tenus de démissionner de leur gouvernement avant de prendre une affectation avec l’UNICEF. L’UNICEF se réserve le droit de retirer une offre de nomination, sans compensation, si un visa ou une autorisation médicale n’est pas obtenu, ou si les conditions de vaccination nécessaires ne sont pas remplies, dans un délai raisonnable pour quelque raison que ce soit.