Créée en 1964, la Banque africaine de développement (BAD) est la première institution panafricaine de développement qui œuvre pour la croissance économique et le progrès social en Afrique. Elle compte 81 États membres, dont 54 en Afrique (pays membres régionaux).
La Banque mobilise et alloue des ressources aux pays africains, individuellement et collectivement, pour des investissements dans des projets et programmes d’équipement publics et privés. Afin d’assurer un impact plus significatif sur le développement et d’accélérer la mise en œuvre de sa stratégie décennale (2013-2022), la Banque axe ses opérations sur cinq grandes priorités (High 5), à savoir : Éclairer l’Afrique et l’alimenter en énergie, Nourrir l’Afrique, Industrialiser l’Afrique, Intégrer l’Afrique et Améliorer la qualité de vie des populations africaines. La Banque entend constituer une équipe de direction qui mènera à bien la mise en œuvre de sa Stratégie décennale et de ses High 5.
Poste 1 : EOI – Soutenir la mise en œuvre du programme de travail de la Banque africaine de développement au Nigeria – RDNG
Date de publication : 01-déc-2022
L’analyste de données du consultant aidera à collecter, analyser et fournir les données et les rapports nécessaires à l’exécution du programme de travail.
Date de publication : 01-déc-2022
Le Bureau des sanctions (SNSO) de la Banque africaine de développement a besoin des services d’un consultant individuel pour l’aider dans les missions suivantes :
- Examen des cas de sanctions et des accords de règlement négociés ;
- Organiser des ateliers et des séminaires;
- Effectuer d’autres tâches connexes selon les besoins.
Date de publication : 01-déc-2022
Le Bureau de coordination des États en transition (RDTS) commande une étude pour identifier les opportunités d’investissement du secteur privé sensible aux conflits, en mettant l’accent sur le secteur agroalimentaire de la RDC. L’étude décrira les défis de développement du secteur privé auxquels sont confrontées les différentes parties prenantes, notamment les investisseurs, les gouvernements, les entreprises locales, les partenaires de développement et les particuliers, et présentera les mesures explicites nécessaires pour faire progresser les investissements privés positifs pour la paix dans les chaînes de valeur agricoles de la RDC. Les résultats de l’étude fourniront des preuves concrètes basées sur la pratique, sur les facteurs qui ont limité l’investissement du secteur privé dans le développement de l’agro-industrie et de l’entrepreneuriat en RDC. Pour chacune des contraintes, un profilage détaillé fournira des informations contextuelles supplémentaires sur la manière dont ces preuves peuvent être liées à la préparation actuelle et future du projet.