S’il y a un dicton qui dit « qu’elle soit bonne ou mauvaise, l’homme ne l’oubliera jamais », ce n’est pas l’effet d’un hasard. La f3llation ou tailler la pipe (pour les intimes) est une pratique très prisée par les hommes.
Il s’agit concrètement d’une séance durant laquelle Madame se serre de ses compétences buccales (salives, langue, gorge) pour donner du plaisir à son homme.
Elle peut se faire soit durant les préliminaires, soit entre deux pauses ou encore après un coup afin de redresser le membre de Monsieur.
Pour certains, c’est une pratique qui ne présente aucun risque sur le plan sanitaire. En revanche, force est de constater qu’elle n’est pas aussi inoffensive qu’elle ne le parait.
Que risque celui qui taille la pipe et le receveur ?
D’après la plateforme Prévention Sida, si le receveur de la pipe n’est exposé en rien au risque d’un quelconque virus de l’immunodéficience humaine (VIH), la donneuse quant à elle en est exposée.
Pour la donneuse, le risque de contamination d’un VIH est présent. Ce fait est dû à la présence du liquide séminal qui peut en être un catalyseur. Le risque s’accroît quand il y a éj@culation dans la bouche de la donneuse.
Tailler la pipe : voici quelques IST auxquelles vous vous exposez
Il y a une pléthore d’IST que la donneuse peut contracter à l’issue d’une pipe. Parmi celles-ci, notons : la gonorrhée qui peut causer une infection à la gorge, la chlamydia (il s’agit également d’une infection à la gorge).
La donneuse peut aussi contracter l’hépatite B quand bien même le risque est considéré comme faible.
La syphilis ou aussi l’herpès génital sont tous autant des infections sexuellement transmissibles que peut risquer une personne via la pratique de la f3llation.
Face à ces réalités, il est donc important de mesurer le pour et le contre avant de s’aventurer dans cette pratique. Également, songez à essayer avec un préservatif buccal afin de limiter les risques.