CAN 2023 : « J’ai dépensé plus de 500 mille FCFA en quelques jours pour… », ce supporter choque

500 Mille FCFA CAN 2023 Supporter

Crédit Photo : Jeune Afrique

Arrivé en Côte d’Ivoire pour suivre la CAN 2023, ce supporter a déjà dépensé plus de 500 milles FCFA. Sur la toile, il a manifesté son choc face à cela.

Pour cette Coupe d’Afrique des Nations, la Côte d’Ivoire a accueilli des milliers de supporters venus de partout dans le monde. Et une fois qu’ils ont posé leurs valises sur le sol ivoirien, ils ont été agréablement surpris par la beauté du pays.

Le seul inconvénient, c’est la cherté de la vie. Du logement à l’alimentation, en passant par l’achat des billets des matchs, les supporters font face à de réels soucis.

Sur son compte X, un supporter venu suivre la CAN 2023 a avoué avoir dépensé plus de 500 mille FCFA en quelques jours. Il a exprimé son choc face à la cherté de la vie en Côte d’Ivoire, plus précisément à Abidjan.

« Abidjan, c’est la cardio les gars. J’ai déjà dépensé 800 euros en 3 jours. Pourtant, je suis là pour 40 jours« , s’est-il exprimé.

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Faut-il le rappeler, le plus grand problème auquel font face les supporters, c’est l’achat des tickets des matchs. Une inquiétude à laquelle le président de la FIF, Idriss Diallo, a répondu au cours d’une sortie.

Premièrement, il s’est indigné contre cette mauvaise habitude de certains Ivoiriens qui préfèrent payer les tickets tardivement. Il les a invités à un changement de comportement.

« Il faut que les ivoiriens changent de comportement. Ils attendent toujours que le match soit demain avant de se rendre à la billetterie. Qu’ils évitent cela et aillent prendre les billets dès que c’est disponible », a-t-il déclaré.

En ce qui concerne la revente des tickets, il a ensuite ajouté que ce phénomène persistera toujours. Ceci, peu importe les stratégies adoptées pour y mettre fin. Il a poursuivi en ces termes :

« Le marché noir des tickets ne peut jamais prendre fin. J’étais à la finale de la Ligue des Champions, je n’ai pas pu avoir de ticket. Donc j’ai été obligé d’acheter les billets là où je pouvais.

Même durant la Coupe du Monde, lorsque je n’étais pas encore président de la FIF, j’ai dû avoir recours parfois au marché noir pour avoir des tickets. »

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