Yasmine Reda : « Dans mon concubinage, j’ai accès à la carte bancaire de mon homme et je… »

Yasmine Reda

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Yasmine Reda, la célèbre chroniqueuse ivoirienne, alias maman na histoire est de retour sur le plateau des « Femmes d’ici » avec des histoires croustillantes pour cette nouvelle saison.

L’influenceuse a confié qu’elle a accès à la carte bancaire de son chéri qu’elle utilise à sa guise.

« Dans mon concubinage, j’ai accès à la carte bancaire de mon chéri que j’utilise.

Je ne le fais pas parce que j’en ai besoin, mais c’est lui qui me le donne en me disant de retirer, car il vient d’être payé.

Par contre, il n’a jamais cherché à savoir ce qu’il y a sur mon compte », a déclaré Yasmine Reda,

Il faut dire que la chroniqueuse a une histoire à raconter à chaque nouvelle émission et c’est en cela que réside sa popularité.

Dans l’une des émissions, elle a lâché que son homme a le droit de la droit et que la polygamie est tout à fait normal selon son point de vue.

« La polygamie est normale parce que je suis une femme africaine. Je préfère que mon mari ait une deuxième femme pour que je sois en paix.

Je suis fatiguée qu’il se cache pour aller toujours dehors et que ça crée des histoires et des problèmes dans le foyer.

Alors que si je sais que quand il est parti, il est chez elle, ça va me faire mal, mais au moins, je vais avaler la pilule.

On est deux, on va le surveiller pour éviter la Syphilis et les petites maladies de gauche à droite.

Nous deux ensembles, on va le protéger pour ne plus qu’il aille dehors parce que de toutes les façons, si je refuse, un homme ne peut pas manger la même sauce tous les jours.

On peut prôner de belles valeurs et c’est ce qu’on nous dit, mais la chair est faible. Mon mari que j’aime de tout mon cœur, a le droit de faire l’amour avec une autre femme.

Un homme qui est aussi viril comme le mien est obligé d’avoir une petite go qu’il va fatiguer.

À mon âge, il y a des positions que je ne peux plus faire, il y a des fatigues que je ne veux pas qu’on me donne. Je ne peux pas satisfaire l’enfant de quelqu’un, alors bébé, va te servir dehors ».