Après l’annonce surprise d’un cessez-le-feu entre l’Iran et Israël, Washington a durci le ton par le biais du vice-président J D Vance.
“Si l’Iran est déterminé à construire une arme nucléaire à l’avenir, alors il devra à nouveau faire face à une armée américaine extrêmement puissante”, a d’abord affirmé J D Vance avant de poursuivre :
“Nous espérons que la leçon que les Iraniens retiendront de tout cela, c’est que nous sommes capables de faire voler une bombe anti-bunker depuis le Missouri jusqu’en Iran, sans être détectés une seule fois, et sans jamais atterrir.
Nous pouvons détruire toute la capacité nucléaire qu’ils pourraient développer”, a-t-il ajouté. Voilà qui est clair. Les États-Unis d’Amérique sont capables d’anéantir le potentiel militaire iranien sans la moindre difficulté.
C’est donc un appel à l’ordre que vient de passer le vice-président américain. Cette sortie médiatique musclée est venue couronner le cessez-le-feu annoncé par le boss de la Maison Blanche, Donald Trump.
En effet, alors que Téhéran se faisait pilonner par les missiles israéliens, le très sulfureux président des États-Unis a annoncé un accord entre les deux pays.
Le cessez-le-feu devait durer 24 heures et sera certainement le début de la désescalade.
Cet embrasement du Moyen-Orient est dû aux désirs renouvelés de l’Iran de se doter de la bombe nucléaire. Le gouvernement israélien s’est alors senti menacé.
Benyamin Netanyahou a donc décidé de dissuader son voisin. Mais face à la détermination des dirigeants iraniens, Israël a dû utiliser la force.
Les autorités de Jérusalem ont été soutenues par les États-Unis d’Amérique dans cette entreprise.