Ce mercredi 21 février marquait la commémoration de la journée internationale des langues maternelles. Un décret initié depuis novembre 1999 par l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO).
Pour cette journée, le site Statista a mis en graphique une nouvelle étude portant sur les langues les plus parlées à travers le monde.
Pour les ressortissants de la langue français qui frôlait autrefois parmi le top trois des langues ayant une bonne cote, ces dernières statistiques montrent clairement une chute de la langue de Molière.
Selon le site Statista ou l’étude a été publiée, le français occupe la cinquième place au classement avec un total de locuteurs évalué à environ 310 millions de personnes.
La tête du classement est toujours occupée par la langue de Shakespeare (anglais), avec au total 1,46 milliard de locuteurs.
D’autres langues qui surpassent le français au classement sont le Chinois mandarin (1,13 milliard de locuteurs), l’Hindi (610 millions de personnes), l’Espagnol (559 millions de personnes).
Celles qui recensent le moins de locuteurs sont : l’Arabe (274 millions de personnes), le Bengali (273 millions de personnes) et enfin le Portugais qui, elle, regroupe 264 millions de parlants à travers le monde.
L’anglais au top de sa forme, quel impact pour le Togo ?
Comme l’on peut l’observer avec ces récentes études, la position de l’anglais peut être une opportunité, même pour les pays n’ayant pas comme langue maternelle l’anglais.
Le Togo, à l’affût des opportunités étrangères, a intégré le club sélect du Commonwealth en 2022.
Cette adhésion, comme l’a indiqué le gouvernement lors de l’annonce officielle faite le 25 juin 2022 à Kigali (Rwanda) permet au Togo de tirer parti des opportunités tant diplomatiques, économiques que sociales et culturelles tout en élargissant ses relations avec les pays anglophones.
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