L’ancien président américain, Donald Trump, fait encore parler de lui. Connu pour ses propos sans filtres, l’ex chef d’État a encore fait des siennes.
L’ancien dirigeant américain en lice pour la présidentielle de novembre 2024, a indiqué jeudi 24 octobre 2024, son intention de licencier le magistrat qui le poursuit s’il est réélu.
En effet, alors qu’il était visé par plusieurs procédures pénales aux États-Unis, Donald Trump a déclaré qu’il souhaitait virer le procureur spécial qui le poursuit, s’il remportait l’élection présidentielle de novembre prochain aux États-Unis.
C’est à la faveur d’une interview sur un podcast le jeudi 24 octobre 2024, que le candidat républicain à la Maison Blanche a exprimé sa volonté de limoger le procureur spécial Jack Smith.
Selon le média international BFMTV, le magistrat le poursuit « pour tentatives d’inverser illégalement les résultats de la précédente élection présidentielle américaine en 2020 ».
Notons que le candidat à la Maison Blanche répondait à la question de savoir ce qu’il ferait du magistrat en cas de victoire au scrutin prochain.
Comme à son habitude, Donald Trump n’a pas mâché ses mots. « Je le virerais en deux secondes », a-t-il déclaré sans langue de bois.
L’ancien président des États-Unis a également qualifié l’homme de droit d’« homme très malhonnête ».
« Le procureur spécial a publié le 27 août un acte d’accusation révisé contre Donald Trump à la suite de la décision de la Cour suprême le 1er juillet reconnaissant au président des Etats-Unis une large présomption d’immunité pénale.
Un mois plus tard, Jack Smith a développé dans un volumineux document écrit, largement caviardé pour préserver l’anonymat des témoins, ses arguments pour démontrer le caractère privé des actes pour lesquels l’ex-président est poursuivi », a expliqué BFMTV .