Une découverte mathématique inattendue secoue le monde après que deux lycéennes africaines vivant aux États-Unis ont résolu une énigme mathématique jugée impossible.
Il s’agit de Ne’Kiya Jackson et Calcea Johnson qui ont impressionné la communauté mathématique en proposant une preuve « impossible » du théorème de Pythagore alors qu’elles n’étaient qu’en dernière année de lycée.
Leur exploit ne s’arrête pas là : elles ont dévoilé neuf nouvelles solutions à ce problème millénaire.
Cette prouesse, initialement présentée lors d’une réunion de l’American Mathematical Society en 2023, vient d’être validée par un examen rigoureux des pairs, comme le rapporte un article publié dans l’American Mathematical Monthly fin octobre 2023.
Le théorème de Pythagore, pilier des mathématiques depuis plus de 2000 ans, énonce que, dans un triangle rectangle, le carré de l’hypoténuse est égal à la somme des carrés des deux autres côtés.
Pendant longtemps, les mathématiciens ont considéré qu’une preuve utilisant la trigonométrie était irréalisable, car les formules trigonométriques fondamentales reposent sur ce théorème.
Les deux lycéennes africaines ont surmonté ce défi en utilisant la Loi des Sinus, évitant ainsi le piège du raisonnement circulaire. Leur approche novatrice a non seulement validé le théorème, mais a également ouvert la voie à de nouvelles perspectives en mathématiques.
Impact et reconnaissance dans le monde scientifique
L’exploit de Jackson et Johnson a eu un retentissement considérable dans la communauté mathématique. Elles sont devenues les troisième et quatrième personnes connues à avoir prouvé le théorème de Pythagore par la trigonométrie sans recourir au raisonnement circulaire, rejoignant ainsi un cercle très restreint de mathématiciens professionnels.
Un tremplin vers l’avenir
L’exploit de Jackson et Johnson illustre parfaitement le potentiel inexploité qui réside dans les esprits jeunes et créatifs. Leur travail ne se limite pas à une simple prouesse mathématique ; il représente un pas en avant significatif dans notre compréhension des fondements mathématiques.
Cette découverte pourrait catalyser de nouvelles recherches et inspirer d’autres jeunes talents à s’aventurer dans des domaines réputés impénétrables. Elle souligne l’importance de cultiver la curiosité et l’innovation à tous les niveaux de l’éducation, du lycée à l’université.
En fin de compte, l’histoire de ces deux lycéennes africaines qui ont fait cette découverte mathématique prouve que la science reste un domaine ouvert aux surprises et aux révolutions, même dans ses aspects les plus fondamentaux et apparemment bien établis.