‎Très bonne nouvelle pour les étudiants de l’Afrique centrale : ce pays annonce en grande pompe, la création de plusieurs…

‎Très bonne nouvelle pour les étudiants de l'Afrique centrale : ce pays annonce en grande pompe, la création de plusieurs...

Crédit Photo : Freepik

‎‎Une très bonne nouvelle vient de tomber pour les étudiants de la région de l’Afrique centrale.

‎En effet, le Tchad est sur le point de franchir un cap dans son secteur éducatif.

‎Le pays d’Afrique centrale a annoncé la création de quatre (4) nouvelles institutions universitaires à savoir : trois (3) universités et un institut supérieur.

‎Le vendredi 18 juillet 2025, le chef d’État tchadien, le Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno a signé une série de décrets en faveur du secteur de l’enseignement supérieur national.

‎Ces décrets signés par le président de la République du Tchad, officialisent la création de trois (3) nouvelles universités publiques et d’un institut supérieur spécialisé.

‎Selon l’arrêté présidentiel, la première université sera construite à Faya-Largeau, une ville située à 760 km au nord de N’Djamena, la capitale tchadienne.

‎Quant à la deuxième université, elle sera implantée à Bongor, une ville du Sud-Ouest du pays.

‎Bol, une ville située dans la région du Lac Tchad à l’Ouest du pays, abritera la troisième université.

‎En ce qui concerne l’institut supérieur, il s’agit d’une académie sanitaire baptisée « Institut national supérieur des sciences et techniques de la santé. Il sera implanté dans la ville de Massakory située au Centre de ce pays d’Afrique centrale.

‎À en croire la presse locale, la création de ces institutions universitaires « répondent à une volonté politique affirmée de rapprocher l’enseignement supérieur des populations et de réduire les disparités régionales en matière d’accès à l’éducation.

‎ Chaque établissement aura pour mission d’assurer la formation initiale et continue, la formation à la recherche, la recherche scientifique et la valorisation des résultats, ainsi que la diffusion de la culture et de l’information scientifique et technique ».

Une très bonne nouvelle donc pour le secteur éducatif national en particulier et pour celui de la sous région centre africaine en général.

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