Au Togo, le 28e pèlerinage diocésain aux pieds de Notre-Dame des Sept Douleurs se tiendra les 6 et 7 décembre 2025 à Kovié.
Comme chaque année, des milliers de fidèles se rassembleront pour vivre un moment de prière, d’espérance et de profonde dévotion.
Mais cet événement religieux est aussi devenu un espace où de nombreuses activités économiques se développent.
7 activités économiques à faire pour le pèlerinage à Kovié 2025
1- eau
La forte affluence crée des besoins importants et l’un des premiers produits très demandés est l’eau minérale en sachet.
Les pèlerins marchent beaucoup sous la chaleur et cherchent régulièrement de l’eau fraîche. Cela représente une bonne opportunité pour les revendeurs.
Beaucoup achètent également de l’eau pour la faire bénir, ce qui augmente encore la demande.
2- Sel
Le sel est aussi très recherché pendant ce pèlerinage. Le dimanche, à la fin de la célébration, le sel est béni et de nombreuses familles en emportent pour un usage religieux ou symbolique. Cette tradition fait que les commerçants qui vendent du sel trouvent facilement des clients.
3- Les médailles et objets de piété
Les objets de piété font partie des articles les plus achetés. Les pèlerins viennent souvent avec l’intention d’acquérir un chapelet, une médaille ou une croix, non seulement comme souvenir mais surtout pour les faire bénir sur place. Ces objets prennent alors une valeur spirituelle particulière.
4- Cache-nez
La poussière est parfois très présente sur certaines pistes menant à Kovié, ce qui pousse de nombreux visiteurs à acheter des cache-nez.
C’est un petit accessoire simple mais utile pour les pèlerins qui passent plusieurs heures sur les routes ou à l’extérieur.
5- Nattes et chaises pliables
Les nattes sont également très demandées car elles permettent aux fidèles de s’asseoir, de prier ou même de se reposer sur place.
Elles sont faciles à transporter et conviennent bien aux longues veillées. Les chaises pliables sont aussi recherchées, surtout par les pèlerins âgés.
6- nourriture
Les vendeurs de nourriture trouvent eux aussi leur place. Certains aliments comme le pain, l’akpan ou le yébéssé fiofio sont appréciés parce qu’ils se conservent facilement pendant un ou deux jours. Les pèlerins peuvent donc les acheter en avance ou les manger sur place sans craindre qu’ils ne s’abîment.
7- moto, taxi, bus
Le transport représente une dernière grande activité économique. Dès le vendredi, plusieurs personnes commencent à se rendre à Kovié et les besoins augmentent rapidement.
Les taxis, les motos et les bus transportent les pèlerins en continu. Le samedi connaît l’affluence la plus forte et le dimanche les retours créent encore une demande importante pour les conducteurs.