L’enjaillement c’est bien, respecter la liberté d’autrui, c’est mieux. C’est sur ce pied que dansent les autorités togolaises depuis quelques années pour limiter les nuisances sonores. À chaque coin de rue, principalement dans la capitale Lomé, il n’est pas rare de faire cent pas sans tomber nez à nez avec un lieu de culte, bar, salon ou atelier.
Si autrefois l’accent était mis sur les lieux de cultes, désormais, ce sont toutes les sources de nuisances sonores qui entrent dans le collimateur des services publics.
Les nuisances sonores, peu importe ce qui les occasionne (fêtes, anniversaires ou mariages…) portent atteinte à la tranquillité des citoyens. Mentionnant les dangers de ce comportement qui, poussé à l’extrême, peut être jugé d’incivique, on note :
- Causes de stress
- Troubles de sommeil
- Problèmes de concentration
- Malveillances auditives ainsi que cognitives…
Malgré les différents appels lancés par les services à l’égard de la population, force est de constater que ces actes ne connaissent aucune diminution, et même semblent prendre d’ampleur.
Face à cette réalité, l’écolier ou l’étudiant, qui espérait profiter des congés de fin d’année qui s’approchent à grand pas pour avancer dans ses révisions, dans la pratique de ses exercices, peut se poser beaucoup de questions. Et qui dit congés de fin d’année dit également fêtes, bar animés, célébrations.
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