Ce n’est plus une nouvelle pour qui que ce soit. Le secteur de la Tech est en difficulté comme le montre la dernière décision de Dell, ce 6 février, annonçant le licenciement d’au moins 6000 salariés.
En effet, après Google, Twitter, Facebook et Huawei, pour ne citer que ceux-là, il s’agit du tour de Dell de prendre des mesures drastiques.
La raison de ces licenciements est bien évidemment d’ordre économique.
Et pour cause, la fin de la pandémie a marqué une chute dans les ventes d’ordinateurs.
Pour comprendre cela, il faut se rappeler que la pandémie de Covid-19 avait poussé bon nombre de personnes au télétravail et aux cours en ligne.
Ce faisant, ces personnes se retrouvaient obligées de s’équiper des derniers outils informatiques.
La pénurie des composants couplée au phénomène de l’offre et de la demande a alors permis aux marques d’augmenter leurs bénéfices.
La fin de la pandémie marque donc clairement une baisse du chiffre d’affaires.
Elle a par ailleurs été colossale au niveau de Dell, forçant cette dernière à décider du licenciement de plusieurs milliers de ses salariés.
Enfin, au train où vont les choses, il se pourrait grandement que la marque américaine ne soit pas la dernière à annoncer un licenciement d’origine économique. Affaire à suivre donc.
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