Le sélectionneur des Lions Indomptables du Cameroun, Marc Brys, a récemment fait une sortie à propos de Samuel Eto’o, le Président de la Fécafoot et cela a suscité beaucoup d’indignations.
Alors qu’il était invité à se prononcer sur le groupe dans lequel se retrouve le Cameroun après le tirage au sort de la CAN 2025, le technicien belge a eu le temps de mettre une pique à l’ancien joueur du Barça.
“Il y a l’histoire entre le Cameroun et la Côte d’Ivoire, je suis au courant de ça. Mais on a peur de personne. On n’a pas peur de Samuel Eto’o, donc on n’a pas peur de la Côte d’Ivoire non plus.
On doit seulement rester concentré. Bien sûr qu’ils ont gagné la dernière CAN, mais on n’a pas peur et on sera prêt quand le premier match commencera.
Toutes les équipes présentes méritent d’être là. Notre plus grand adversaire, c’est nous-mêmes. On doit être prudent avec ça et on doit rester dans notre philosophie de jeu.
On doit toujours ajouter la passion et l’enthousiasme que mérite le peuple du Cameroun et on va être prêt. Mon équipe a beaucoup d’expérience.
Il y a des joueurs qui jouent dans de grands clubs en Europe. On a ajouté des jeunes et ils se sont bien adaptés. Ils font preuve d’intelligence dans le jeu. On doit rester motivé”, a-t-il déclaré à propos du tirage.
De nombreuses personnes ont cherché à comprendre le rapport que voulait faire Marc Brys entre le tirage de la Côte d’Ivoire et Samuel Eto’o, sans y arriver.
Le journaliste Yannick Renaud Kwakap croit en savoir plus sur ce qui se serait réellement passé et a amené le technicien belge à s’en prendre à son président.
« La Fécafoot envoie Marc Brys au Maroc samedi, pour assister à un tirage au sort lundi 27 janvier dans la nuit. Mais le problème c’est que la même Fécafoot veut que le sélectionneur des Lions Indomptables rentre le même jour du tirage au sort.
Donc il doit assister au tirage au sort qui s’est achevé vers 22h là, il ne va même pas d’abord se reposer à l’hôtel, mais il doit prendre le vol directement !
Il y a de la pression et de la précipitation là-bas, car on sait quels autres enjeux il existe après un tirage au sort et qui vous permettent de découvrir l’identité de la ville où vous serez logés, le camp de base etc. Alors pourquoi fixer la date du retour sur le lundi 27 janvier 2025 ? » se demande le journaliste.