L’artiste controversé de Dancehall ghanéen Shatta Wale a été mandaté par une Haute Cour d’Accra, présidée par la juge Afi Agbanu Kudomor
En effet, cette décision a été prise pour indemniser Maverick City Entertainment, l’organisateur du Wildaland Festival.
Cela survient 2 ans après que les organisateurs du Wildaland Festival ont poursuivi l’artiste en justice pour ne pas s’être produit au festival malgré le paiement intégral de 120 000 $ (plus de 73 millions de FCFA).
Shatta Wale était censé être la tête d’affiche de l’événement en 2021, mais ne s’est pas présenté après avoir reçu un paiement anticipé des organisateurs.
La décision du tribunal oblige le chanteur ghanéen à payer 120 000 $, ainsi que des dommages-intérêts, pour n’avoir pas rempli son engagement de se produire au festival en 2021, malgré le paiement anticipé.
Le tribunal a déterminé que cette violation avait entraîné des pertes financières pour les organisateurs.
En plus des 120 000 $, Shatta Wale est également tenu de payer des intérêts sur la somme au taux de 5,5 % à compter du 14 décembre 2021, jusqu’à la date du paiement final, s’élevant à 10 892,47 $ supplémentaires.
Ce n’est pas la première fois que l’artiste ghanéen a des problèmes avec la justice, on se rappelle qu’il est même déjà allé en prison.
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