Selena Gomez : l’administration de Trump s’en prend à la chanteuse !

Selena Gomez

Crédit Photo : Los Angeles Times

L’administration Trump a critiqué Selena Gomez pour sa réaction émotionnelle face aux récentes arrestations massives de l’Immigration and Customs Enforcement (ICE), l’accusant de faire preuve d’une empathie mal placée.

En effet, dans la soirée du vendredi 31 janvier 2025, la Maison-Blanche a publié sur les réseaux sociaux une vidéo mettant en lumière trois cas où des femmes, Kayla Hamilton, Jocelyn Nungaray et Rachel Morin, auraient été tuées par des individus sans papiers.

La vidéo contient des déclarations émouvantes des mères des victimes, qui s’adressent directement à Mme Gomez et à d’autres personnes opposées à des contrôles frontaliers plus stricts.

Le message de l’administration Trump à l’endroit de Selena Gomez

Les légendes accompagnant la vidéo indiquent : “Kayla Hamilton, Jocelyn Nungaray et Rachel Morin ont été assassinées par des étrangers en situation irrégulière. Leurs mères courageuses avaient quelque chose à dire à @SelenaGomez et à ceux qui s’opposent à la sécurisation de nos frontières”.

Dans la vidéo, les mères, Alexis Nungaray, Tammy Nobles et Patty Morin, expriment leur chagrin et accusent Selena d’utiliser sa tribune pour gagner de la sympathie pour le non-respect de la loi.

Patty Morin a fait remarquer que personne ne s’est levé sauf elles, les mères, pour pleurer au sujet de leurs enfants, tout en applaudissant le président Trump pour avoir renforcé les politiques d’immigration depuis son retour au pouvoir au début du mois.

Selena Gomez, une Américaine d’origine mexicaine de troisième génération, avait partagé sur les réseaux sociaux une vidéo pleine de larmes en réaction aux déportations de l’ICE, décrivant ces actions comme une attaque contre sa communauté.

L’actrice a ensuite supprimé le message et précisé qu’elle exprimait de l’empathie pour les personnes concernées. La vidéo a toutefois suscité de vives réactions, le tsar des frontières Tom Homan s’exprimant à son tour, suggérant à l’artiste d’adresser ses préoccupations au Congrès.

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