Depuis quelques jours, Baltasar Ebang Engonga, se retrouve au cœur d’un scandale après la diffusion de plus de 400 de ses sext@pes.
Dans les vidéos, on pouvait voir l’Equato-guinéen en plein éb@ts sexµels dans son bureau avec différentes femmes. Selon Jeune Afrique, il s’agirait de femmes proches de dignitaires, de ministres et de généraux.
Baltasar Ebang Engonga, alias Bello, est un membre de la famille présidentielle. Il est le fils de Baltasar Engonga Edjo’o, président de la commission de la Cemac et neveu du président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo.
Il était Directeur de l’administration fiscale jusqu’à ce que des soupçons de transfert de fonds publics vers les îles Caïmans l’envoient en détention.
En prison, ses téléphones et ordinateurs ont révélé les 400 sext@pes, qui ont rapidement circulé sur les réseaux sociaux.
Face à ce scandale, le vice-président Teodorin Obiang a interdit le dimanche 3 octobre toute relation intime dans les bureaux de l’administration. Ce lundi, il a suspendu les fonctionnaires impliqués.
Ernest Obama réagit au scandale des sext@pes de Baltasar
Ce lundi, le journaliste camerounais Ernest Obama a vivement réagi à cette affaire, allant jusqu’à appeler à la démission du président de la CEMAC.
« Je ne comprends pas pourquoi le s*xe est autant banalisé aujourd’hui », a-t-il déclaré à la télévision.
Il a ensuite exprimé son indignation face à la perte des valeurs d’intimité : « Avant, pour faire l’@mour on éteignait la lumière.
Moi, j’ai grandi au village et je vous assure que là, l’intimité était sacrée au point que, pour la désigner, on disait les « choses du sous-préfet ».
Le sous-préfet était tellement craint ; c’est pour cela qu’on utilisait ce titre pour désigner l’intimité. .
Il a conclu en demandant que « le père de Baltazar démissionne », ajoutant ainsi à la pression qui pèse désormais sur la famille Engonga.