Plus rien ne va entre la starlette Sarah Koffi et son ancien collaborateur qui n’est autre que l’influenceur Seny Krangba. Elle s’en est prise à ce dernier en l’accusant de l’avoir utilisée.
Pour l’histoire, après que Sarah Koffi a effectué une sortie pour appeler à l’aide, Seny Krangba a réagi en s’en prenant à elle.
« J’ai mis mon carnet d’adresses à sa disposition. Je lui ai trouvé des contrats de publicité. Elle était à chaque fois rémunérée. J’ai créé sa page Facebook. Elle et moi étions les administrateurs de ce compte.
C’est moi qu’on contactait pour ses passages télé et Radio. J’ai mis ma voiture à sa disposition. Je ne lui réclamais rien. Tout ce qu’elle gagnait comme sous lui appartenait.
À mon insu, elle a accepté de se faire manager. Son nouveau manager et elle m’ont retiré comme administrateur de la page Facebook de Sarah Koffi. Elle m’a même accusé d’avoir bloqué son compte Facebook.
Comme la collaboration avec son manager ne l’arrange plus, elle veut revenir vers moi. Cette fille est ingrate et très impolie. Je ne veux plus avoir affaire à elle« , a-t-il déclaré.
Des accusations auxquelles la présidente des servantes a réagi en faisant des révélations à son tour.
« Seny Krangba, tu es un père de famille. Alors, arrête de te comporter comme un gamin sur les réseaux sociaux. Oui, arrête de mentir ! Tu t’es fait de l’argent avec mon nom. Partout où nous nous rendions, tu retirais ta part dans l’argent qu’on me donnait.
Après m’avoir exploitée, utilisée et gagnée de l’argent sur mon dos, tu m’as jetée. Tu m’as bloqué de ma page. Tu ne prends plus mes coups de fil. Je t’envoie des messages sur WhatsApp, tu ne réponds pas. Tu n’as donc plus de mes nouvelles.
Tu es donc mal placé pour te prononcer sur ma maladie. Pire, tu oses raconter que ma sœur t’aurait dit que ma maladie est juste un buzz. Et selon toi, c’est un moyen pour moi de revenir sur les réseaux sociaux.
Tu racontes tellement de contrevérités que tu refuses de faire une confrontation avec moi. En tout cas, je te cherche pour t’assener mes quatre vérités« , a-t-elle répondu. Nous y reviendrons.