Samuel Eto’o a été élu au Comité Exécutif de la CAF, un fait salué par Paul Biya, lors de l’Assemblée générale extraordinaire du 12 mars 2025 au Caire. Cette nomination renforce son influence dans le football africain.
Le président camerounais Paul Biya a rapidement félicité Samuel Eto’o pour son accession à la CAF. Il a salué sa passion pour le football et son engagement en faveur des joueurs africains. Pour lui, l’ancien capitaine des Lions Indomptables contribuera positivement à l’instance dirigeante du football continental.
Le Capitaine Ibrahim Traoré, chef de l’État burkinabé, a aussi adressé ses félicitations. Il a reconnu la détermination de Samuel Eto’o à faire progresser le football africain.
En tant que membre du Comité Exécutif, Samuel Eto’o percevra un salaire annuel de 80 000 USD, soit environ 48 millions de FCFA. Il recevra également des indemnités journalières pour ses missions officielles au sein de la CAF.
Cette élection intervient après une décision du Tribunal arbitral du sport (TAS). L’instance avait ordonné à la CAF d’intégrer le nom de Samuel Eto’o sur la liste des candidats. Cette réhabilitation lui a permis d’accéder à ce poste clé.
Son entrée au Comité Exécutif représente une opportunité pour apporter une nouvelle vision. Samuel Eto’o, connu pour son franc-parler et son engagement, pourrait jouer un rôle majeur dans la réforme du football africain. Ses priorités incluent l’amélioration des conditions des joueurs et le développement des infrastructures.
Avec cette nomination, le Cameroun place un de ses plus grands ambassadeurs au cœur des décisions du football continental. Le parcours de Samuel Eto’o, ponctué de succès sur le terrain, lui confère une légitimité incontestable. Son rôle au sein de la CAF sera scruté de près, tant par les observateurs que par les acteurs du football africain.
L’élection de Samuel Eto’o marque ainsi une nouvelle étape dans sa carrière. Après avoir brillé sur les pelouses, il se lance un nouveau défi au sein des instances du football. Son influence et son expérience pourraient être des atouts précieux pour la gestion et l’évolution du football africain.