Russie : la nouvelle menace de Vladimir Poutine qui fait trembler le monde entier ; le président russe menace de relancer…

Russie : la nouvelle menace de Vladimir Poutine qui fait trembler le monde entier ; le président russe menace de relancer...

Crédits photo : L'express / © afp.com/Mikhail METZEL

Le dimanche 28 juillet 2024, le président de la fédération de Russie, Vladimir Poutine a fait une nouvelle sortie qui a sidéré l’option internationale.

En effet, le président russe a lancé dimanche, une nouvelle menace. Ainsi, la menace nucléaire russe plane de nouveau sur l’Europe.

Le chef d’État russe, Vladimir Poutine a menacé de relancer la production d’armes nucléaires à porté intermédiaire.

Poutine a fait savoir que cette menace sera mise en exécution si les États-Unis confirment leur intention de déployer des missiles en Allemagne ou ailleurs en Europe.

« Si les États-Unis mettent en œuvre de tels plans, nous nous considérerons libérés du moratoire unilatéral adopté précédemment sur le déploiement de capacités de frappe à moyenne et courte portée », a déclaré Vladimir Poutine.

À en croire le chef d’État russe, « le développement d’un certain nombre de systèmes de ce type en est au stade final » en Russie.

« Nous prendrons des mesures de réplique pour les déployer, en tenant compte des actions des États-Unis, de leurs satellites en Europe et dans d’autres régions du monde », a averti le chef du Kremlin.

Cette nouvelle menace de la Russie intervient après que les États-Unis ont annoncé en juillet 2024, leur intention de déployer des missiles en Allemagne en 2026.

Soulignons que, ce type d’armement, dont Poutine menace de relancer la production, d’une portée allant de 500 à 5 500 km, a fait l’objet d’un traité de limitation entre Washington et Moscou.

Il s’agit du traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI), signé au temps de l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) en 1987.

Cependant, il est a noté que la Russie et les États-Unis s’étaient tous deux soustraire de ce traité en 2019.

En effet, chacun des deux pays accuse l’autre de ne plus respecter les dispositions établies par ledit traité.