Alors que la guerre en Ukraine se poursuit en dépit des nombreux appels de la communauté internationale pour un cessez-le-feu, le président des États-Unis Donald Trump a décidé de durcir le ton à l’endroit de la Russie.
Fini désormais la rigolade, le président américain envisage désormais d’utiliser des moyens forts pour faire entendre raison à Moscou.
Qu’il vous en souvienne, récemment, Donald Trump qui visiblement perd de plus en plus patience face à la situation, a lancé un ultimatum à la Russie.
Le patron de la Maison Blanche avait donné 50 jours au Kremlin pour mettre un terme à la guerre en Ukraine sous peine de sanctions sévères.
Le lundi 28 juillet 2025, Donald Trump est revenu sur cette menace et a annoncé que Vladimir Poutine avait désormais entre 10 et 12 jours pour mettre fin au conflit en Ukraine.
Si au terme de cette période rien n’est fait, le chef d’État américain envisage « des sanctions économiques « secondaires » sur l’achat de produits russes, tels que les hydrocarbures », a rapporté RFI.
Suite à cette nouvelle sortie de Trump, la réaction de Moscou ne s’est pas faite attendre.
Selon le média international RTL, le Kremlin a réagi au nouvel ultimatum américain à l’encontre de la Russie et réitéré son engagement en faveur d’une résolution du conflit.
« Nous avons pris note de la déclaration du président Trump », a fait savoir le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
« L’opération spéciale se poursuit. Et nous continuons également à maintenir notre engagement en faveur du processus de paix pour résoudre le conflit autour de l’Ukraine et préserver nos intérêts », a-t-il ajouté.
Ainsi, le compte à rebours est désormais lancé pour mettre fin à l’invasion russe en Ukraine qui dure depuis plus de 3 ans.