Robinho s’est récemment exprimé dans une interview exclusive alors qu’il attend son sort cette semaine dans le scandale d’agression s3xuelle en cours depuis 2013.
L’ancien footballeur international brésilien a rompu son silence au sujet de la récente décision de justice le condamnant à 9 ans de prison pour son implication dans une affaire de vi0l collectif en 2013.
La Cour supérieure de justice (STJ) devrait examiner l’affaire cette semaine pour déterminer s’il purgera sa peine au Brésil.
Robinho a exprimé sa frustration lors d’un entretien le 17 mars dernier, se demandant pourquoi il est le seul à subir les conséquences du crime collectif impliquant 5 autres individus.
Robinho nie avoir commis cet acte
L’ancien footballeur de 40 ans a nié avec véhémence ces allégations, déclarant en exclusivité à Sunday Spectacular : « Ils avaient pour objectif principal d’essayer de me condamner pour quelque chose que je n’ai pas fait ».
L’incident se serait produit en 2013 dans la discothèque Sio Caffé de Milan, en Italie, où Robinho jouait à l’époque pour l’AC Milan.
Aux côtés du footballeur, 4 autres Brésiliens ont été accusés d’avoir agressé une femme d’origine albanaise lors de l’événement.
Selon la star, sa relation avec la victime a été « superficielle et rapide », soulignant qu’elle était consensuelle.
Robinho a aussi contesté les affirmations selon lesquelles la femme était inconsciente, affirmant qu’il se souvenait de différents détails de la nuit.
Il a également fait part de ses inquiétudes concernant les préjugés raciaux, suggérant que s’il était d’une ethnie différente, son jugement aurait pu être différent.
« Les mêmes personnes qui ne font rien avec ce genre d’actes, je repousse le racisme, sont les mêmes qui m’ont condamné.
Si mon jugement s’adressait à un Blanc, à un Italien, ce serait complètement différent », a-t-il déclaré.
Avant le procès du STJ, Robinho a exprimé l’espoir d’un procès équitable, déclarant qu’il avait l’intention de présenter des preuves démontrant son innocence.
Le tribunal de Milan, en Italie, a notamment demandé aux autorités brésiliennes de reconnaître et d’exécuter la condamnation, car l’ancien footballeur réside actuellement au Brésil.
Cependant, malgré cette condamnation, la loi brésilienne interdit l’extradition de ses citoyens en vue de purger des peines à l’étranger, ce qui pourrait compliquer l’exécution de la peine de Robinho si le STJ se prononçait en faveur du transfert de l’affaire au Brésil.
Retrouvez l’actualité sur notre compte Tiktok.