Richarlison : critiqué pour ses prestations, le Brésilien a pensé au pire

Crédit photo : reuters

Pendant longtemps, des allégations selon lesquelles Richarlison se considérerait comme le nouveau Ronaldo, ont fait le tour du monde.

Ce qu’avait valu à l’attaquant brésilien évoluant à Tottenham, de vives critiques, aussi bien de la part de certains de ses collègues footballeurs, mais aussi des fans.

On se rappelle encore d’une interview d’Allan Saint-Maximin durant lequel il a vivement critiqué le Brésilien pour son égo, avant de l’identifier comme étant le joueur le plus surcoté de la Premier League.

Le joueur de Premier League qui pense être le meilleur ? Richarlison ! C’est un bon joueur, je ne vais pas du tout cracher sur ses qualités. Ce ne serait pas honnête de ma part. Mais j’ai l’impression qu’il pense vraiment être limite au niveau d’un Ronaldo au Brésil, chose qu’il n’est pas du tout. Donc oui, je vais peut-être dire Richarlison”, avait déclaré Allan.

Allan Saint-Maximin n’est pas cependant le seul à avoir critiqué le niveau de Richarlison. Ce dernier a en effet été cible de railleries sur la toile après son mondial raté avec le Brésil.

Des critiques qui sont loin d’être passées sur la peau de la star brésilienne, qui a indiqué avoir véritablement été touché par la campagne de dénigrement qui le visait.

Dans une récente interview, larmes à l’œil, Richarlison est revenu sur la profonde amertume que lui a provoqué les critiques, au point d’avoir pensé pendant un moment à s’ôter la vie.

« Le psychologue m’a sauvé la vie, car je ne pensais qu’aux bêtises. Sur Google, je n’ai cherché que de mauvaises choses, sur la mort … Et aujourd’hui, je peux dire : cherche un psychologue, c’est très important« , a-t-il déclaré.

Et de poursuivre : «Après la Coupe du Monde, j’allais m’entraîner et je voulais déjà rentrer chez moi, dans ma chambre. Je ne sais pas ce qui se passait ma tête. J’ai même dit à mon père que j’allais arrêter le football.

Je venais de disputer une Coupe du Monde, j’étais à mon meilleur niveau, mais j’atteignais mes limites. J’étais en dépression, j’avais envie d’abandonner. Moi qui semblais fort mentalement, après la Coupe du Monde, j’avais l’impression que tout s’écroulait».

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