Le sénateur Ned Nwoko, mari de l’actrice nigériane Regina Daniels, a publié une déclaration pour démentir tout lien avec une femme aperçue à ses côtés dans une vidéo récemment diffusée sur la toile.
En effet, quelques jours après une première vidéo ayant suscité la polémique autour du couple, une nouvelle séquence a fait surface sur la toile, provoquant un véritable tollé.
Dans cette vidéo, on aperçoit le sénateur assis à côté d’une jeune femme, que plusieurs internautes ont rapidement identifiée — à tort — comme une nouvelle compagne.
Ce samedi 25 octobre 2025, l’homme d’affaires a tenu à clarifier la situation à travers une déclaration publique publiée sur sa page Facebook :
« DÉCLARATION PUBLIQUE
Une vidéo récemment portée à mon attention montre une jeune femme qui m’a rendu visite avec son équipe dans le cadre de l’initiative Ambassadeurs de la paix, dirigée par l’ambassadeur Dr Adejo Sule.
Cette vidéo circule actuellement en ligne, accompagnée de fausses allégations visant à m’associer à cette jeune femme.
Il est regrettable que les réseaux sociaux soient devenus un espace où les moments sont facilement déformés à des fins d’influence et de désinformation.
Au cours de la visite, des photos ont été prises avec les membres de la délégation, comme c’est l’usage chaque fois que je reçois des invités.
Cela n’a rien d’inhabituel ; même dans les lieux publics ou lors d’événements en plein air, les gens me demandent souvent de prendre des photos avec eux, et j’accède à leur demande.
Il est donc malveillant et malicieux de la part de quiconque d’exploiter de tels gestes pour fabriquer de faux récits.
Je tiens à affirmer clairement et sans équivoque que les informations diffusées au sujet de sa visite sont entièrement fausses. Je n’ai aucun lien personnel ou privé avec elle.
Je mets en garde les personnes, les groupes ou les médias qui diffusent cette histoire inventée de cesser immédiatement.
Toute propagation supplémentaire de ce récit mensonger fera l’objet de poursuites judiciaires appropriées.
La loi de 2015 sur la cybercriminalité (interdiction, prévention, etc.) reste en vigueur et s’applique à toute personne impliquée dans la diffusion délibérée de mensonges ou de diffamation dans le cyberespace. »