Avant de devenir un international brésilien, l’ailier du FC Barcelone, Raphinha, était à deux doigts de porter le maillot de la sélection italienne.
Il a fait cette révélation dans une interview exclusive accordée à la journaliste Isabela Pagliari sur sa chaîne YouTube.
En effet, Raphael Dias Belloli, le numero 11 de Seleção possède également la nationalité italienne.
« J’étais sur le point d’accepter la sélection en équipe nationale italienne ! J’étais censé aller à l’Euro qu’ils ont gagné en 2020. J’étais quasiment prêt à y aller. Heureusement, le passeport n’est pas arrivé », a-t-il confié à Isabela Pagliari.
L’international brésilien a ensuite expliqué l’approche de la Squadra Azzurra. « À ce moment-là, l’équipe nationale italienne m’appelait. Jorginho m’appelait tout le temps. Le staff italien avait un projet incroyable pour moi, quelque chose qui m’a vraiment séduit. »
Cependant, le cœur de Raphinha balançait toujours vers sa nation d’origine. « Au fond de moi, j’avais encore un petit espoir de pouvoir porter le maillot du Brésil. Et heureusement, mon passeport italien n’est pas arrivé à temps ! », a indiqué le cador du Barça.
La sélection du Brésil en difficulté malgré la présence de Raphinha, Vinicius …
Les propos de Raphina interviennent alors que le Brésil traverse une période délicate sur la scène internationale.
En effet, malgré la présence de talents de classe mondiale tels que Vinicius Jr., Endrick et Raphinha lui-même, la Seleção peine à s’imposer en Amérique du Sud et au niveau mondial.
Des observateurs pointent du doigt un manque de structure et de direction au sein de l’équipe nationale.
« Sur le terrain, nous avons des joueurs qui brillent dans l’élite du football mondial, mais qui semblent n’être que l’ombre d’eux-mêmes en équipe nationale. Le talent est là. Ce qui manque, c’est une structure, un plan, une direction », analysent-ils.
Cette situation morose du football brésilien a poussé Ronaldo Fenômeno à prendre les taureaux par les cornes. La légende a voulu se présenter à la présidence de la Confédération Brésilienne de Football (CBF). Malheureusement, sa tentative s’est soldée par un échec.