Le PSG n’est décidément pas épargné par les blessures depuis le début de la saison.
Ce mercredi 29 octobre 2025, c’est Désiré Doué qui en a été victime d’une nouvelle alors qu’il venait tout juste de faire son retour quelques semaines auparavant.
Victime d’une lésion musculaire à la cuisse droite, l’international français n’est pas attendu de retour sur les terrains avant le début d’année prochaine.
Un coup dur alors qu’il revenait bien. L’Equipe assure, qu’à l’instar d’Ousmane Dembélé, il pourrait passer une petite partie de sa rééducation du côté de Doha, à l’hôpital Aspetar.
En attendant, c’est une énorme perte pour Luis Enrique, qui devra bien évidemment faire sans son crack pour le choc face au Bayern Munich mardi mais aussi très probablement contre Tottenham (26 novembre) et l’Athletic Bilbao (10 décembre).
Aucune décision ne sera prise dans l’urgence au PSG
Le PSG, de son côté, dresse un constat implacable : personne dans l’effectif parisien n’a la capacité de créer un danger constant comme le fait le natif d’Angers.
Si le coach espagnol devrait aligner une attaque alléchante face aux Bavarois composée d’Ousmane Dembélé, de Bradley Barcola et de Khvicha Kvaratskhelia, l’absence de Doué se fera ressentir.
Dès lors, une question se pose ? Paris va-t-il être actif sur le Mercato cet hiver afin de compenser la perte du vice-champion olympique 2024 et de prévenir plus globalement des futures blessures ? Pas nécessairement à en croire le quotidien francilien.
Ces blessures ne seront pas un motif de recrutement même si l’arrivée de nouveaux joueurs n’est pas à exclure.
Sans surprise, empiler des éléments n’a jamais été une volonté de Luis Enrique et de Luis Campos, qui n’aiment pas prendre des décisions dans l’urgence.
Pour eux, l’effectif actuel, même amoindri, est capable d’accomplir de grandes choses. En plus de cela, ils sont persuadés qu’un effectif pléthorique pourrait créer des tensions.
Toutefois, si les blessures venaient à se répéter et toucher d’autres cadres d’ici janvier, ce qu’on espère bien évidemment pas, alors les dirigeants pourraient peut-être réévaluer leur position.
Une chose est cependant certaine, on agira pas sur un coup de tête dans la capitale. Affaire à suivre.