S’il y a une cause particulièrement chère au prince Harry, c’est bien la protection de l’environnement. Cette cause lui tient tant à cœur qu’il avait préféré visiter la réserve naturelle de K’gari, une immense île de sable qui abrite de grandes forêts tropicales humides et des lacs dunaires, au septième jour des Invictus Games en Australie, en 2018.
« Sans arbres et sans forêts, nous ne survivons pas », avait insisté le duc de Sussex lors d’une prise de parole très remarquée.
Cette même année, son discours à l’Université du Pacifique Sud avait fait une aussi forte impression : « 90 % de ses 2,4 milliards d’habitants ont moins de 30 ans. Vous serez les plus touchés par les défis mondiaux auxquels nous sommes tous confrontés […] L’un des plus grands défis est sans aucun doute le changement climatique et vous tous qui vivez ici êtes confrontés à cette menace dans votre vie quotidienne ».
L’an dernier encore, il prononçait des mots lourds de sens devant l’Organisation des Nations unies (ONU), évoquant les ravages provoqués par le changement climatique. « Ces événements météorologiques […] font de plus en plus partie de notre vie quotidienne, et cette crise ne fera que s’aggraver ».
Mais dans un article récemment publié par Daily Mail, on apprend que les nombreux voyages du duc de Sussex ces derniers mois ont beaucoup fait parler les mauvaises langues.
Le décompte de ses déplacements est en effet hallucinant. Au début du mois de septembre, Harry s’est envolé pour Londres avant de prendre l’avion en direction de l’Allemagne où étaient organisés les Invictus Games. Il a ensuite pris la direction du Portugal le temps d’une « escapade romantique » avec sa femme Meghan Markle.
Le couple a enfin repris la voie des airs pour retrouver Archie et Lilibet en Californie. Au total, Harry a parcouru près de 30 000 km en un mois. De quoi décrédibiliser ses beaux discours sur l’environnement.