Disparu des terrains européens après son départ du PSG, Presnel Kimpembe désormais sous contrat avec Qatar SC, se retrouve au coeur d’une vive polémique après des accusations portant sur une affaire d’infidélité. Le défenseur français formé au PSG est notamment accusé de tromper sa compagne.
Tout est parti d’une publication de la femme du footballeur, visant clairement la chanteuse, Imen Es.
« Imen Es, c’est quoi la sensation d’être la maîtresse d’un homme marié ?« , a posté Sarah, la mère des enfants de Presnel Kimpembe, sur son compte Instagram, avant de supprimer ensuite la publication.
Cette sortie aura cependant mis le feu aux poudres, puisqu’il n’a fallu que quelques minutes pour que le blogueur, Aqababe, se saisisse de l’affaire.
Il a alors multiplié des publications, comme à son habitude, sur ses réseaux sociaux, suscitant une vague de réactions.
Plusieurs heures après la diffusion des informations, ni Presnel Kimpembe, ni Imen Es, n’ont pas fait de sortie pour traduire en faux les accusations.
Il s’agit d’une nouvelle fois que le couple Kimpembe est confronté aux accusations d’infidélité. Déjà en 2021, la compagne du footballeur avait été accusée de tromper son homme. Des rumeurs qu’elle avait à l’époque démenties, à travers une longue publication.
« Comme vous le savez, je ne suis pas du genre à étaler ma vie privée et encore moins lorsqu’il s’agit de mon couple. Et au regard des idioties que certaines personnes débitent, j’ai bien fait de toujours nous préserver ! Mais depuis plusieurs jours, des rumeurs circulent à mon sujet. Cela ne m’atteignait pas plus que ça, jusqu’à recevoir dans mes dm et sous mes publications des messages de personnes venant m’insulter ouvertement, et tenant des propos graves, car ils pensaient que la raison pour laquelle ‘je ne serais plus avec le père de mes enfants’ serait que je l’aurais trompé. Ce qui est totalement faux« , avait-elle écrit sur les réseaux.
Avant de conclure : « C’est la meilleure celle-là ! Ensemble ou non cela ne regarde que nous, et vous n’en saurez pas plus ! Veuillez respecter cela. Je ne devrais même pas me justifier, mais ces bêtises commencent à nous fatiguer ! Ce sera la première et la dernière fois que j’aborderai ce sujet« .