L’Algérie et l’Angola ont décidé de renforcer leur coopération dans les secteurs du pétrole, du gaz et des mines, afin de valoriser leurs ressources et dynamiser leurs économies.
Cette volonté commune a été officialisée à l’occasion du 17ᵉ Sommet d’affaires États-Unis–Afrique, marquant une étape majeure dans leur partenariat stratégique.
D’après plusieurs médias angolais et algériens, cette collaboration s’articulera autour de plusieurs priorités. Parmi elles, un programme d’échanges destiné à partager connaissances et compétences est prévu, afin que techniciens et entreprises des deux pays puissent bénéficier mutuellement de formations adaptées aux secteurs clés de l’exploitation des hydrocarbures.
Alger et Luanda ont placé la coordination technique au cœur de leur stratégie commune. Les deux capitales ont envisagé de lancer des initiatives conjointes, qui pourraient déboucher sur des co-investissements ou la création de structures mixtes dédiées à la production et à la transformation des hydrocarbures.
Fortes de leur poids sur le marché africain de l’énergie, elles ont misé sur l’échange d’expertises et la recherche collaborative pour donner un nouvel élan à leurs industries.
Au-delà des simples enjeux économiques, cette coopération a renforcé l’autonomie énergétique de l’Algérie et de L’Angola, tout en diversifiant leurs partenariats.
En unissant leurs forces dans les secteurs du pétrole, du gaz et des mines, les deux pays ont ouvert la voie à de nouvelles perspectives industrielles et à un développement accru de leurs capacités locales. Cette dynamique pose ainsi les bases d’une collaboration stratégique prometteuse pour l’avenir de leurs économies.