Pep Guardiola : le coach dévoile ce qui a changé après les 3 dernières victoires de Manchester City

Pep Guardiola

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Pep Guardiola a déclaré le 13 janvier 2025 que l’ambiance à Manchester City s’est améliorée avec trois victoires consécutives, mais l’entraîneur espagnol est resté prudent, notamment à propos d’éventuels mouvements au sein de son effectif en janvier.

Le quadruple champion d’Angleterre en titre n’avait gagné qu’un de ses 13 matches toutes compétitions confondues jusqu’à sa victoire 2-1 à Leicester le 29 décembre.

Il a ensuite dominé West Ham 4-1 lors du dernier match de Julen Lopetegui à la tête du club londonien avant d’écraser Salford (4e division) 8-0 lors du troisième tour de la FA Cup le week-end dernier.

« Avant, il était impossible d’en gagner un, maintenant nous en avons gagné trois et cela nous aide », a déclaré Guardiola à la veille du match de Premier League contre Brentford.

Même si « bien sûr l’ambiance est meilleure », a-t-il souligné, il est encore trop tôt pour déterminer si la crise des résulats est terminée, a ajouté Guardiola, relativisant le dernier succès en date des siens en raison de la faiblesse de l’adversaire.

« Nous avons un match très difficile (contre Brentford). Thomas (Frank) et son équipe posent toujours beaucoup de problèmes. C’est une équipe fantastique, fantastique », a-t-il assuré au sujet d’une formation qui possède le deuxième meilleur bilan à domicile cette saison derrière Liverpool.

Les Citizens sont sixièmes au classement de la Premier League, à douze points des Reds, qui comptent un match en moins.

En Ligue des champions, ils sont seulement 22e de la phase de ligue, un point devant le Paris Saint-Germain, chez qui ils se rendent le 22 janvier lors d’une rencontre de l’avant-dernière journée cruciale pour les deux clubs.

Guardiola n’a par ailleurs pas souhaité faire de commentaires ni sur le possible départ de son capitaine, le latéral droit anglais Kyle Walker, qui désirerait partir à l’étranger, ni sur le recrutement du défenseur central ouzbek Abdukodir Khusanov (Lens/L1).

Avec AFP