La maladie parasitaire paludisme, fait ravage. Comme on le dit, il vaut mieux prévenir que guérir. Dans cette optique, le Nigeria met en place une campagne de vaccination des jeunes enfants contre le fléau.
Plusieurs milliers de personnes ont perdu la vie à cause de cette maladie. Ce programme de vaccination prend place dans le sud du pays. Cette région connaît le taux le plus élevé du paludisme.
L’une des mères témoigne : « Je suis heureuse d’amener mon enfant au centre de santé pour qu’il soit vacciné, car nous avons entendu dire que le paludisme tuait d’autres enfants. »
Okah Clarise, explique que « les préoccupations concernant ce vaccin contre le paludisme pour les bébés portent sur sa disponibilité ».
Pareillement, elle indique qu’ « il ne faut pas qu’il soit petit et limité pour que certains enfants soient laissés de côté. Ils devraient produire plus de vaccins ».
La campagne a enregistré beaucoup de participation. Néanmoins Seiyefa Brisibe, estime que l’administration devait encore faire face à la désinformation de la population.
Elle explique que « la prévalence du paludisme est élevée et, bien sûr, il est à l’origine d’environ 30 % des décès d’enfants de moins de cinq ans. Il est également à l’origine d’un grand nombre de raisons pour lesquelles les adultes ne trouvent pas de travail ».