Déjà considéré comme l’un des meilleurs joueurs de tous les temps, Cristiano Ronaldo, s’il était né au Brésil, aurait remporté bien plus de trophées internationaux, selon l’analyste argentin, Osvaldo.
Selon ce dernier, s’il avait eu la possibilité de naître et donc de joueur pour la sélection nationale du Brésil, Cristiano Ronaldo, aurait sans aucun doute, réussi à remporter deux Coupes du monde.
Il a ensuite estimé que le Portugal, étant un pays peu compétitif, a ralenti le buteur de la Seleçao de glaner des trophées nationaux.
« Ce n’est pas la faute de Cristiano Ronaldo s’il est né dans un pays peu compétitif comme le Portugal, qui n’a pas une grande tradition footballistique. S’il était né au Brésil, il aurait tout simplement remporté deux Coupes du Monde», a-t-il déclaré.
Une éventualité qui ne peut jamais être prouvée, mais qui remet à la Une, les comparaisons incessantes entre Lionel Messi et Cristiano Ronaldo.
A l’approche de leur fin de carrière, les deux joueurs, rivaux pendant près de deux décennies, ont désormais choisi de parfaire leur relation.
On a ainsi pu assister ces derniers jours de part et d’autres, des affinités envoyés par les deux joueurs l’un envers l’autres, visiblement désireux de mettre fin aux débats les opposant.
« Nous avons été concurrents pendant si longtemps, quinze ans passés ensemble au plus haut niveau. Je ne sais pas s’il parle anglais aujourd’hui, mais à l’époque ce n’était pas le cas. Du coup, lors des galas, c’est moi qui lui traduisais tout. Donc oui, je l’apprécie vraiment. Il a toujours été respectueux envers moi, et c’est réciproque. Mais jouer ensemble semble désormais très compliqué », avait déclaré CR7 à l’endroit de Messi.
Et à ce dernier de rebondir récemment sur les propos du Portugais en ce sens : « La rivalité entre nous se déroulait sur le terrain et chacun de nous s’efforçait de donner le meilleur de lui-même pour son équipe, à chaque instant et à chaque endroit où il se trouvait. Mais bien sûr, tout cela reste, comme toujours, sur le terrain. Ensuite, nous redevenons deux personnes normales.
Nous ne sommes pas amis, bien sûr, car nous ne passons pas de temps ensemble. Mais ce que nous partageons se fait toujours dans un cadre de grand respect. J’ai une immense admiration pour ce qu’il a accompli dans sa carrière, et pour ce qu’il continue à faire, car il joue encore au plus haut niveau. Il n’y a rien d’étrange à cela : c’est normal, et c’est ainsi que les choses devraient toujours être».