L’épidémie de putsch en Afrique persiste avec une nouvelle tentative de coup d’État qui aurait frappé la Guinée-Bissau le vendredi 1ᵉʳ décembre. Mais cela ne s’arrête pas là.
Après le succès du putsch au Gabon, cette nouvelle tentative a conduit le président Umaro Sissoco Embalo à prendre une décision forte : la dissolution du parlement le 4 décembre.
Une mesure visant à rétablir la stabilité nationale, selon les assurances du président à la population.
Cependant, selon des informations rapportées par le Niger Tribune le soir du 4 décembre, la situation ne semble pas aussi calme qu’on pourrait le croire.
Des tirs à l’arme lourde auraient été entendus dans la capitale, alimentant le climat d’incertitude.
https://twitter.com/NigerTribune/status/1731777468015493565
La décision de dissoudre le parlement a été prise en réponse à la tentative de coup d’État, mais les événements ultérieurs suscitent des inquiétudes quant à la stabilité réelle du pays.
La population demeure dans l’expectative, alors que la situation politique évolue rapidement.
Des informations supplémentaires seront nécessaires pour éclaircir la confusion persistante autour de cette nouvelle tentative de coup d’État en Guinée-Bissau.
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