Le Nigeria est secoué par un scandale impliquant le Sénat et son président, Godswill Akpabio, accusé de h@rcèlement s3-x-µel par la sénatrice Natasha Akpoti-Uduaghan.
En réponse à ces dénonciations, ses collègues l’ont suspendue pour six mois. Cette affaire provoque une vague d’indignation dans tout le pays, ainsi que sur les réseaux sociaux.
La suspension de Natasha Akpoti-Uduaghan a révélé des tensions au Nigeria, où le Sénat, sous l’autorité de Godswill, fait face à des accusations de répression politique.
Officiellement, les sénateurs lui reprochent d’avoir vi0lé le règlement interne, mais de nombreux observateurs y voient une tentative d’intimidation.
Pour plusieurs associations, le Nigeria ne peut accepter que le Sénat protège Godswill Akpabio au lieu de répondre aux accusations de harcèlement sexuel. Elles dénoncent une manœuvre visant à museler une femme qui ose défier l’ordre établi.
Le Nigeria observe avec attention cette affaire, car le Sénat, dirigé par Godswill Akpabio, joue un rôle central dans la vie politique du pays. Certains sénateurs s’indignent et demandent une enquête indépendante, tandis que d’autres soutiennent la décision prise par leur président.
Face aux critiques, le Sénat du Nigeria continue de défendre le président et maintient la suspension de la sénatrice. Pourtant, celle-ci ne compte pas se laisser faire et promet de porter l’affaire devant la justice.
Sur les réseaux sociaux, de nombreux citoyens du Nigeria dénoncent l’attitude du Sénat et de son président, exigeant des réponses claires aux accusations portées contre lui. Des appels à la démission du président du Sénat se multiplient, mettant la pression sur l’institution.
L’issue de cette affaire reste incertaine, mais une chose est sûre : le Nigeria attend des explications du Sénat et de son président, Godswill Akpabio. Ce scandale pourrait bien marquer un tournant dans la lutte contre le h@rcèlement s3-xµel en politique.
Nous vous tiendrons informés de la suite des événements.