Chaque pays a sa propre politique d’accompagnement financier. Ces dernières années, le manque de fonds représente une source d’inquiétudes pour le Nigeria.
D’une part, l’objectif consiste à remédier au manque de financement dans les décennies à venir. Le chômage en constante augmentation, il faudra au moins 130 millions d’emplois.
Pour y parvenir, les Très Petites et Moyennes Entreprises aideront fortement, puisqu’elles émettent 90 % des offres de travail. Elles représentent le bon moyen pour atteindre l’objectif fixé.
D’autre part, d’après une analyse de la Banque africaine de développement (BAD), il faut 99 520 milliards de FCFA pour satisfaire les demandes de financement TPME du Nigeria. Une telle somme semble difficile à réunir.
Qu’on le veuille ou non, le gouvernement doit fournir une solution à l’impératif de financement. Les obstacles pour l’investissement sont nombreux. D’abord, les jeunes qui dirigent les TPME sont majoritairement des femmes peu formées et sans ressources à fournir en garantie.
Ensuite, les études menées sur cette partie de la population montrent que moins de 1 % du financement bancaire, soit 213 milliards de FCFA, va aux TPME. Les investisseurs privés ont peur de prendre un tel risque.
Au regard de la situation, la durée de vie de ces petites entreprises ne dépasse pas cinq ans. Cette conclusion amère ressort de l’analyse des administrations officielles nigérianes.
Malgré les efforts fournis par le gouvernement pour régler le problème, cela parait toujours insuffisant.
Ainsi, la Banque centrale recommande aux banques commerciales de mettre 10 % de leurs encours de crédits à la disposition des TPME. Malgré la création de fonds de soutien à l’entrepreneuriat, la grande demande rend ces initiatives maigres.
La situation du Nigeria établit un schéma clair sur le défi qu’il y a à créer une croissance inclusive en Afrique. « Il faudra mettre en place un système local fort et financièrement autonome, capable d’intervenir sur les plus gros segments de la croissance économique, notamment en termes de consommation, d’investissements et d’exportations« , explique la BAD.
Chaque pays a sa propre politique d’accompagnement financier. Ces dernières années, le manque de fonds représente une source d’inquiétudes pour le pays.
D’une part, l’objectif consiste à remédier au manque de financement dans les décennies à venir. Le chômage en constante augmentation, il faudra au moins 130 millions d’emplois.
Pour y parvenir, les Très Petites et Moyennes Entreprises aideront fortement, puisqu’elles émettent 90 % des offres de travail. Elles représentent le bon moyen pour atteindre l’objectif fixé.
D’autre part, d’après une analyse de la Banque africaine de développement (BAD), il faut 99 520 milliards de FCFA pour satisfaire les demandes de financement TPME du Nigeria. Une telle somme semble difficile à réunir.
Qu’on le veuille ou non, le gouvernement doit fournir une solution à l’impératif de financement. Les obstacles pour l’investissement sont nombreux. D’abord, les jeunes qui dirigent les TPME sont majoritairement des femmes peu formées et sans ressources à fournir en garantie.
Ensuite, les études menées sur cette partie de la population montrent que moins de 1 % du financement bancaire, soit 213 milliards de FCFA, va aux TPME. Les investisseurs privés ont peur de prendre un tel risque.
Au regard de la situation, la durée de vie de ces petites entreprises ne dépasse pas cinq ans. Cette conclusion amère ressort de l’analyse des administrations officielles nigérianes.
Malgré les efforts fournis par le gouvernement pour régler le problème, cela parait toujours insuffisant.
Ainsi, la Banque centrale recommande aux banques commerciales de mettre 10 % de leurs encours de crédits à la disposition des TPME. Malgré la création de fonds de soutien à l’entrepreneuriat, la grande demande rend ces initiatives maigres.
La situation du Nigeria établit un schéma clair sur le défi qu’il y a à créer une croissance inclusive en Afrique. « Il faudra mettre en place un système local fort et financièrement autonome, capable d’intervenir sur les plus gros segments de la croissance économique, notamment en termes de consommation, d’investissements et d’exportations« , explique la BAD.