Le gouvernement du Niger pose un acte fort et inattendu envers des terroristes.
En effet, un groupe d’hommes armés a annoncé officiellement sa décision de déposer les armes et de rejoindre la vie civile.
Cet événement s’est déroulé en présence des autorités politiques, coutumières et religieuses.
Un acte qui marque un tournant décisif dans la lutte contre l’insécurité au Niger.
Ce geste courageux est salué par tous comme un signe d’espoir pour l’avenir.
Il témoigne de la volonté de ces hommes de renouer avec la paix et de contribuer à la reconstruction du pays.
Cette démobilisation est également le fruit des efforts soutenus du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP).
Rappelons qu’en décembre 2023, le gouvernement du Niger a son accord avec l’UE.
Il portait sur le statut de la mission PSDC de l’Union européenne au Niger (EUCAP SAHEL NIGER).
Cette dénonciation, a pris effet six mois après sa notification, mettant fin à la mission de formation et d’appui de l’UE au Niger dans la lutte contre le terrorisme.
Des personnalités sur la liste noire !
Aux dernières nouvelles, le FPGE a annoncé l’inscription de plusieurs personnalités politiques sur cette liste noire.
Il s’agit de Hassoumi Massoudou et Alkache Alhada, deux anciens ministres du régime de Mohamed Bazoum.
Ces inscriptions font suite à des accusations de « trahison » et de « complot contre la sûreté de l’État » pesant sur ces personnalités.
Elles s’inscrivent dans le cadre de l’ordonnance présidentielle du 27 août 2024.
Elle visait à renforcer la lutte contre le terrorisme et les menaces à la sécurité nationale.