Au Niger, le CNSP représenté par le Général Tiani vient de recevoir un véritable geste de validation de la part de la société civile.
En effet, tandis que les défis s’accumulent après le coup d’État de 2023, la société civile a décidé de prendre son destin en main.
Le tout à travers la création de la Fédération de soutien au CNSP/AES ce samedi 1er juin, marquant ainsi le début d’une nouvelle ère pour le pays.
Oumar Beidari, le président de ce mouvement, a prononcé des paroles qui résonnent comme un hymne à l’espoir.
« C’est avec un immense honneur et une grande responsabilité que je vous annonce la création de la Fédération de soutien au CNSP et à la Confédération de l’AES », a-t-il martelé.
Ces propos décrivent la nouvelle entité comme un regroupement de structures de la société civile déterminées à bâtir un Niger plus fort, plus stable et plus prospère.
Mais ne nous y trompons pas, la route est semée d’embûches. L’insécurité continue de sévir dans les régions de Tillabéri et de Diffa.
La cherté de la vie pèse sur les épaules des familles nigériennes. Et la NIGELEC, tel un géant endormi, peine à satisfaire les besoins énergétiques de la population.
Face à ces défis titanesques, la Fédération se veut comme un nouveau rempart qui se fera inébranlable.
Elle appelle à la vigilance face aux engagements des bases militaires américaines, soutient la fermeture de la frontière avec le Bénin et exhorte le CNSP à montrer l’exemple en réduisant le train de vie de l’État au Niger.
Et que dire de la scène internationale ? La Fédération condamne avec véhémence le génocide des populations palestiniennes dans la bande de Gaza.
Elle appelle la communauté internationale à agir, à ne pas rester sourde face à la souffrance de tout un peuple.
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