La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) avait menacé d’intervenir militairement au Niger si le pouvoir n’est pas rendu au président élu Mohamed Bazoum en 7 jours.
Pour rappel, le coup d’État du 26 juillet a été condamné par la CEDEAO, qui a suspendu le Niger de ses organes et imposé des sanctions économiques aux militaires.
Néanmoins, le chef des militaires putschistes, le général Abdourahamane Tiani, a rejeté les sanctions et a menacé de riposter en cas d’intervention militaire de la CEDEAO.
La CEDEAO semble donc se retrouver dans une impasse. Elle est déterminée à rétablir l’ordre constitutionnel au Niger, mais elle ne veut pas provoquer une guerre civile.
Une intervention militaire de la CEDEAO serait risquée. Elle pourrait entraîner de nombreuses victimes et déstabiliser la région.
La CEDEAO est ainsi confrontée à un dilemme. Elle doit trouver un moyen de rétablir l’ordre constitutionnel au Niger sans provoquer une guerre civile.
La situation au Niger est très volatile et il est difficile de prévoir ce qui va se passer dans les prochains jours.
La CEDEAO est sous pression pour intervenir militairement, mais elle doit également faire attention à ne pas provoquer une guerre civile. La situation est très complexe et il n’y a pas de solution facile.
Restez à jour en vous abonnant à notre canal Telegram.
Lire aussi : Ce pays africain domine l’École Polytechnique de France avec le plus grand nombre d’étudiants étrangers