L’ancien international Français, Nicolas Anelka, est revenu sur son passage au Real Madrid. Une signature qu’il dit regretté amèrement.
La star confie qu’il a vécu un véritable enfer dans ce club.
« Mon regret, je l’ai eu quand je suis arrivé dans le vestiaire le premier jour, quand je suis arrivé dans le vestiaire, je n’avais pas ma place, il n’y avait pas mon nom écrit ou mon maillot accroché.
Et comme il y avait des retours de prêts, on devait se partager des casiers à deux, mais ça c’était avant.
Quand je signe au Real, c’est Lorenzo Sanz (président du Real à l’époque, ndlr) qui me prend et pas le coach (Toshack).
Ce n’est pas le coach qui me voulait. Toshack est viré trois mois plus tard. C’était difficile dans le vestiaire.
Le premier jour, je n’avais pas de place attitrée. J’ai attendu que les joueurs arrivent. Il y avait deux joueurs à certaines places, moi, je n’avais pas de place.
À ce moment-là, je me suis posé des questions, je me suis dit : « qu’est-ce que je fais là ?.
Le premier jour où j’arrive, Eto’o vient me voir et me dit de faire attention aux anciens parce qu’ils ont été voir le président pour lui demander pourquoi il prend Anelka alors qu’il y a Fernando Morientes. La suite a prouvé que c’était un enfer.
Ça a été compliqué avec beaucoup d’Espagnols, j’arrivais dans une famille, j’étais en concurrence avec Morientes et Raul, et en plus, je n’étais pas bon sur le terrain. Avec les Espagnols, c’était compliqué.
Je ne vais pas dire que Raul était le problème, j’ai beaucoup de respect par rapport à tout ce qu’il a fait. Je ne parlais pas espagnol à mon arrivée.
Le fait que Samuel m’ait dit de faire attention a fait que j’étais sur la défensive. Je n’ai pas fait les efforts. Et je ne faisais pas la différence sur le terrain », a confié Nicolas Anelka.