Nekfeu répond enfin aux accusations d’agressions s3xuelles de son ex-femme

Credit Photo : Radio France

Ce dimanche 3 novembre 2024, la toile était en ébullition après les allégations de l’avocate de l’ex-femme du rappeur français Nekfeu.

Selon cette dernière qui s’est exprimée à travers un communiqué, Nekfeu aurait agressé sexuellement son ex-femme durant leur relation qui a duré près de 4 ans.

Le lundi 4 novembre 2024, le rappeur, auteur du tube « On verra bien », est sorti du silence, lui aussi, à travers un communiqué partagé par Mekra, un membre du groupe S-Crew dont Nekfeu fait partie.

« J’ai appris ce matin que mon ex-épouse, par le biais de son avocate Florence FEKOM, avait publié un communiqué entièrement mensonger et diffamant m’accusant de violences, notamment sexuelles.

L’ensemble de ce communiqué est faux.

Ces accusations ont déjà été classées sans suite par la Justice et reviennent au moment même où elle a été interpellée hier soir pour la disparition inquiétante de mon fils de 3 ans.

Elle est actuellement sous contrôle judiciaire depuis septembre et a interdiction d’approcher l’école de notre fils.

Depuis la procédure de divorce que j’ai engagée il y a 3 ans et qu’elle n’a jamais acceptée, elle a essayé de se servir de notre enfant pour m’atteindre. »

Chantage financier

« Elle a tenté en vain à l’époque déjà, de me faire un chantage financier, me menaçant d’aller voir les médias si je ne lui versais pas une somme importante, sachant bien ma discrétion et mes convictions profondes sur ce sujet qui me touche et que j’ai plusieurs fois essayé d’aborder à mon humble échelle. Malgré ses accusations infondées et choquantes, elle a depuis été condamnée plusieurs fois.

C’est dans ce contexte qu’en mars 2024, la garde de notre enfant m’a été confiée.

N’arrivant pas à parvenir à ses fins par la voie judiciaire, elle tente désormais en désespoir de cause de salir mon honneur en public.

C’est pour celui de mon fils que je me sens obligé de me justifier à mon tour par un communiqué. »

Il prouve son innocence

« J’avais déjà transmis à la police tous les éléments prouvant mon innocence et les intentions malveillantes de mon ex-épouse, dont des échanges privés et des témoignages de sa propre famille confirment mes propos.

Elle sera à nouveau jugée en janvier 2025.

Je n’aurais jamais pensé un jour me retrouver dans cette situation humiliante et j’en suis d’autant plus attristé et dégoûté que je crois fermement qu’il faut redoubler d’efforts pour faire entendre la voix des femmes victimes de violence.

J’ai moi-même un jour dit avec aplomb qu’il n’y avait pas de fumée sans feu sur ce sujet, mais la vie m’a montré qu’en de rares occasions, d’autres motivations pouvaient entrer en jeu, c’est mon cas aujourd’hui.

Ken SAMARAS », peut-on lire dans le communiqué.