Via une publication sur ses comptes sociaux, Nathalie Koah a choisi de rappeler à ses nombreux followers, ses erreurs passées, qui, aujourd’hui encore, continuent de lui faire de l’ombre. En effet, il y a plusieurs années, la jeune camerounaise, avant de connaître la célébrité, est passé par une dure période. Des images d’elle la montrant à peine couverte ont été publiées sur la toile.
Une situation alarmante pour Nathalie Koah, qui avait choisi à l’époque de rétablir la vérité, en se mettant dans la peau d’une écrivaine qu’elle est, en sortant l’œuvre très polémique : « Revenge Porn« . Un ouvrage dans lequel l’influenceuse est revenue de bout en bout sur les moments inconnus de sa vie, faisant des révélations qui n’ont pas manqué de choquer plus d’un.
Depuis, la jeune femme est devenue l’une des personnes les plus connues sur les réseaux sociaux au Cameroun. Ses contenus, qui consistent notamment à montrer ses images, ne manquent pas de susciter l’admiration.
Cependant, si Nathalie Koah a choisi de passer à autre chose, ses vieux démons, encouragés par certains détracteurs, continuent de lui pourrir la vie. C’est du moins ce qu’a indiqué Nathalie dans son dernier post sur Instagram.
Depuis quelques jours, l’influenceuse est accusée de proxénétisme par certains internautes qui l’accusent de jouer le rôle d’intermédiaire entre certaines jeunes femmes et d’autres hommes fortunés.
Des accusations mensongères auxquelles vient de réagir Nathalie Koah en publiant un long message sur son feed Instagram, assurant que bien qu’ayant commis des bêtises, elle n’a jamais eu à entraîner une autre personne avec elle.
« Dernièrement, j’évite de prendre la parole lorsque mon nom fait l’objet d’émulation sur la toile, mais autorisez-moi cette exception. Si je ne compte pas m’étendre sur les accusations dont je fais l’objet, je vais en revanche commencer par apporter une clarification. Je n’ai jamais, même dans mes errements de jeunesse, emmené ou livré à qui que ce soit l’enfant d’autrui. J’ai certes commis des bêtises, mais je les ai commises seule et je suis la seule à en payer le prix près de 20 ans après !!!
Ce n’est certainement pas aujourd’hui du haut de mes 36 ans, dans ma vie de famille paisible, maman de 2 enfants, dont une merveilleuse petite fille que j’éduque à la dure, que je me permettrai de dérouter les vôtres. Je mettrais la même énergie dans l’éducation de mon garçon, afin qu’il respecte et valorise toujours les femmes mais surtout qu’il les traite avec dignité.
Cette parenthèse refermée, je reviens sur le but principal de ce message. Cela fait presque 10 ans que je dénonce ces pratiques inhumaines et je suis profondément attristée par la situation actuelle au Cameroun. Je constate que de plus en plus de victimes ont le courage de se lever et de dénoncer ces actes ignobles. En 10 ans de présence sur les réseaux sociaux, j’ai multiplié interviews et prises de position pour dénoncer, conseiller et prévenir les jeunes femmes au sujet des faits qui font l’objet de débats aujourd’hui.
Jeunes sœurs, et ici, je m’adresse uniquement à celles qui agissent avec leur plein consentement, je vous connais mieux que vous ne vous connaissez. La cupidité qui vous anime a été la mienne quand j’avais votre âge, les chemins tortueux que vous empruntez pour vous offrir une vie descente, je les ai parcouru, la tetutesse et la naïveté qui vous habitent ont été mienne.
Je vous connais et j’ai toujours pensé, je vous connais et j’ai toujours pensé qu’à cet effet moi mieux que quiconque saurait vous parler afin de vous éviter les pièges dans lesquels je suis tombée. Malheureusement, à chaque fois que j’ai essayé de passer ce message, je me suis faite chassée et je dirai même muselée. Vous en êtes témoin« , a-t-elle posté.