La situation des étrangers en Tunisie est de plus en plus précaire comme le montre les informations de la supposée mort du président de l’Association des Ivoiriens dans le pays.
En effet, depuis la fin de février 2023, les noirs sont devenus « persona non grata » sur le territoire tunisien. Et ce, en raison des propos négrophobes de leur président Kaïs Saïed.
Encouragées, par ces dires, de nombreuses personnes ont trouvé le courage de martyriser les migrants noirs de peau.
Ce climat tendu a fini par faire réapparaître un fait divers qui avait bouleversé la toile.
En effet, la vidéo de l’agression et de la mort du président de l’Association des Ivoiriens en Tunisie en 2018 va refaire surface.
La polémique va tellement enfler qu’Egountchi Behanzin, un militant des droits de l’homme, va en parler ce 7 mars en faisant l’amalgame.
« Le président de l’Association des Ivoiriens en Tunisie, Falikou Koulibaly, 33 ans, a été victime d’une agression meurtrière alors qu’il rentrait chez lui dans la zone de la Soukra (banlieue nord de Tunis) », commence-t-il.
Avant de terminer : « Il a ensuite été mortellement poignardé à deux reprises ».
#Tunisie 🇹🇳 Le président de l’Association des Ivoiriens en Tunisie, Falikou Koulibaly, 33 ans, a été victime d’une agression meurtrière alors qu’il rentrait chez lui, dans la zone de la Soukra (banlieue nord de Tunis), en compagnie d’un ami. Il a ensuite été mortellement… https://t.co/c1xMf6VkIR pic.twitter.com/i9pv8cbNNK
— Egountchi Behanzin (@EgountchiLdna) March 7, 2023
Enfin, il convient de se rappeler que malgré la vindicte populaire en Tunisie, il faut savoir reconnaitre le vrai du faux pour ne pas véhiculer de fausses informations.
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