Mikel Arteta a reconnu la supériorité du PSG après l’élimination d’Arsenal en demi-finale de Ligue des champions. Pas sur le plan du jeu collectif, mais sur un élément précis : la solidité défensive.
Pour lui, un seul joueur parisien a fait la différence, et c’est Gianluigi Donnarumma.
« Le meilleur joueur du PSG dans les deux matchs était le gardien de but. On peut dire que Donnarumma leur a gagné la cravate« , a déclaré le coach d’Arsenal.
Le gardien du PSG a été impérial sur les deux matchs face à l’Arsenal de Mikel Arteta. À l’aller comme au retour, il a repoussé toutes les tentatives des Gunners. Frappe croisée de Saka, tête puissante d’Havertz, coup franc placé d’Odegaard… tout a été arrêté.
Donnarumma a imposé son calme et sa concentration dans les moments critiques. À chaque arrêt, il a renforcé la solidité de son équipe.
Le PSG, souvent acculé, a plié sans jamais rompre. Arsenal a dominé plusieurs phases du jeu, mais n’a pas trouvé la faille.
Donnarumma a gardé ses cages inviolées lors des temps forts londoniens. Grâce à lui, Paris a tenu bon et décroché son billet pour la finale.
Mikel Arteta, malgré la frustration, a salué cette performance du gardien du PSG. Sa phrase devenue virale résume le sentiment général : sans Donnarumma, le PSG ne passait pas.
Sur les réseaux sociaux, les supporters parisiens ont célébré leur héros. Les observateurs, eux, ont souligné la maturité du portier italien.
Longtemps critiqué pour son irrégularité, Donnarumma semble avoir franchi un cap. Il répond désormais présent dans les grands rendez-vous.
Le style de jeu du PSG continue de diviser. Moins flamboyant, plus pragmatique, le club mise sur l’efficacité. Contre Arsenal, ce choix a porté ses fruits. La défense a souffert, mais Donnarumma a tenu la baraque. Une stratégie réaliste, validée par les résultats.
Mikel Arteta, en quête de sa première finale européenne, devra patienter. Son équipe a montré de belles choses, mais a buté sur un mur. Le PSG, lui, avance vers une nouvelle finale, porté par un gardien en état de grâce.
Donnarumma n’a pas seulement arrêté des tirs. Il a éteint les rêves d’Arsenal. Et Arteta, à sa manière, l’a reconnu.