Mia Khalifa licencié par Playboy ; la raison

Mia Khalifa licenciée Playboy

Credit Photo : DR

L’ex star de film pour adultes, Mia Khalifa a été licenciée par le magazine pour adultes, Playboy. Ce licenciement intervient suite aux propos tenus par la star d’origine libanaise à propos de l’attaque du Hamas contre Israël.

Peu de temps après que le Hamas a lancé une attaque à grande échelle contre Israël faisant des centaines de morts et autant de kidnappés, Mia Khalifa a publié des messages de soutien aux combattants du Hamas et au peuple palestinien. Elle a notamment déclaré qu’être du côté d’Israël, c’est être du mauvais côté de l’histoire.

« Si vous pouvez regarder la situation en Palestine et ne pas être du côté des Palestiniens, alors vous êtes du mauvais côté de l’apartheid et l’histoire le montrera en temps voulu », a-t-elle écrit dans l’une de ses publications.

Elle a ensuite dans une autre publication demandé aux soldats du Hamas de tourner leur téléphone à l’horizontale afin d’avoir des vidéos de meilleures qualités de leurs agissements.

« Quelqu’un peut-il, s’il vous plaît, dire aux combattants de la liberté en Palestine d’utiliser leur téléphone et de filmer à l’horizontale ? », a-t-elle écrit avant de supprimer sa publication.

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Des propos raisonnant comme « une célébration des attaques du Hamas contre Israël » qui n’ont pas du tout plu aux dirigeants du magazine pour adultes, Playboy, qui ont mis fin à la collaboration avec Mia Khalifa. Dans un communiqué, le magazine condamne les propos de la célébrité qu’il qualifie de « dégoûtant et de répréhensible ».

« Chère communauté de créateurs,

Nous vous écrivons aujourd’hui pour vous faire part de notre décision de mettre fin à la relation entre Playboy et Mia Khalifa, et notamment de supprimer la chaîne Playboy de Mia sur notre plateforme Creator. Ces derniers jours, Mia a fait des commentaires dégoûtants et répréhensibles célébrant les attaques du Hamas contre Israël et le meurtre d’hommes, de femmes et d’enfants innocents. Chez Playboy, nous encourageons la liberté d’expression et les débats politiques constructifs, mais nous appliquons une politique de tolérance zéro à l’égard des discours haineux. Nous attendons de Mia qu’elle comprenne que ses paroles et ses actes ont des conséquences », a posté le magazine sur les réseaux sociaux.

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