Le décès de Martinez Zogo au Cameroun a créé un véritable tollé sur le plan international.
Ce faisant, le pays a été scruté à la loupe, voire indexé du doigt par tout un chacun.
Pris à partie, le gouvernement du Cameroun a fini par s’exprimer concrètement en attaquant directement des journaux internationaux comme Le Monde ou Reporters sans frontières.
Au travers d’un communiqué en date de ce 23 février, le ministre de la Communication a dit les vérités fournies par les autorités.
Le gouvernement a en ce sens soutenu que Le Monde peignait le Cameroun comme une monarchie où le « roi » Paul Biya avait le droit de vie ou de mort ses « sujets », comme ce serait le cas de Martinez Zogo.
À la suite de ces propos, les autorités ont tenu à rappeler que le pays n’était en aucun cas une royauté.
« Le Cameroun est un État de droit où les libertés individuelles sont garanties », peut-on lire dans les premières lignes des grands points du communiqué.
« Le Cameroun n’est pas une monarchie, mais une république dotée d’institutions démocratiques qui fonctionnent normalement », est-il possible de voir plus loin.
Le ministre de la Communication reviendra appuyer sur l’assassinat de Martinez Zogo.
Il sera précisé que ce cas de figure peut intervenir dans les pays dits « démocratiques » soutenus par Le Monde.
Enfin, pour vous faire votre propre idée, voici le communiqué en l’espèce.
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Martinez Zogo : l’effroyable sort réservé à sa femme après son assassinat