Alors qu’il défendait encore les couleurs de la Côte d’Ivoire, Max Gradel était disposé à comprendre une défaite face à chaque équipe, à l’exception d’une seule : l’équipe du Mali.
Il y a trois mois, la Côte d’Ivoire décrochait pour la troisième fois de son histoire, un trophée à une phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations.
À la suite de la finale ayant opposé les Éléphants de la Côte d’Ivoire aux Super Eagles du Nigeria, ce sont les hommes d’Emerse Faé qui avaient remporté la confrontation.
Dominateurs tout au long du match, les Ivoiriens ont cependant été menés au score dès la 38e minute de jeu, suite à un but du capitaine de l’équipe nigériane, William Troost-Ekong, sur corner.
De retour des vestiaires, Franck Kessié sonna la révolte, inscrivant le but de l’égalisation à la 62e minute, également sur corner.
À égalité, et alors que les deux équipes se dirigeaient vers la prolongation, Sébastien Haller décida de sceller la rencontre, en inscrivant un magnifique but à la 81e minute, offrant la victoire à son pays.
Une victoire qui avait permis à la Côte d’Ivoire de remporter son troisième trophée de la CAN, après l’avoir remporté en 1992 et en 2015.
Mais avant de disputer la finale, les Ivoiriens ont été opposés aux Aigles du Mali en quart de finale. Bien que réduit à 10 contre 11, ils avaient réussi à s’imposer sur le score de deux buts à un.
Une rencontre gagnée grâce à l’état d’esprit des joueurs qui ont été galvanisés et avertis par leur capitaine, Max Gradel, d’éviter une défaite face aux Maliens.
C’est du moins, ce qu’a révélé le gardien titulaire des Éléphants, Yayia Fofana, dans les propos relayés par Canal+ Côte d’Ivoire.
« Gradel nous a dit : « on peut perdre contre tout le monde, mais pas contre les Maliens » », a révélé le gardien vedette des Éléphants de la Côte d’Ivoire.
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